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JFK : Un Destin trahi [Blu-Ray]

5,0 sur 5 étoiles 3 évaluations

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Genre Documentaire
Format Cinémascope, Couleur
Contributeur John Fitzgerald Kennedy, Oliver Stone, David Talbot, Robert Rakove, David Mantik, Douglas Horne, John M. Newman, Robert F. Kennedy Jr., Gary Aguilar, Philip Muehlenbeck Voir plus
Langue Anglais
Durée d’exécution 3 heures et 40 minutes
Nombre de disques 1
Fabricant L'Atelier d'Images

Description du fabricant

JFK la série

JFK: UN DESTIN TRAHI

60 ANS APRÈS L’ASSASSINAT DE JFK, LA SÉRIE ÉVÉNEMENT D’OLIVER STONE !

Trente ans après son film culte JFK, le réalisateur Oliver STONE poursuit son enquête sur cet assassinat qui bouleversa le destin de l’Amérique grâce aux dossiers récemment déclassifiés et avec le concours d’experts scientifiques, médicaux et balistiques, d’historiens et de témoins.

Cette série permet de mieux comprendre les dessous de l’affaire.

"Fascinant"- LE FIGARO

LA SÉRIE

  • 4X56 minutes
  • En VO anglaise sous-titrée français

Description du produit

4 épisodes

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 2.35:1
  • Classé ‏ : ‎ Tous publics
  • Dimensions du produit (L x l x h) ‏ : ‎ 13,5 x 1 x 17,1 cm; 80 grammes
  • Réalisateur ‏ : ‎ Oliver Stone
  • Format ‏ : ‎ Cinémascope, Couleur
  • Durée ‏ : ‎ 3 heures et 40 minutes
  • Date de sortie ‏ : ‎ 2 janvier 2024
  • Acteurs ‏ : ‎ Oliver Stone, John Fitzgerald Kennedy, Douglas Horne, Robert F. Kennedy Jr., Gary Aguilar
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Français
  • Langue ‏ : ‎ Anglais (DTS-HD 5.1)
  • Studio  ‏ : ‎ L'Atelier d'Images
  • ASIN ‏ : ‎ B0C2QJST9M
  • Pays d'origine ‏ : ‎ France
  • Nombre de disques ‏ : ‎ 1
  • Commentaires client :
    5,0 sur 5 étoiles 3 évaluations

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  • Avis laissé en France le 30 juin 2024
    Oliver Stone revient donc sur le meurtre de JFK et ici il prend le temps de tout exposer vis-à-vis de ce sujet qui le fascine et demeure si important pour lui et l’Amérique (pense-t-il). Tel « Wall Street » pour lequel il a proposé la seule suite de sa filmographie, « L’enquête » sous forme de film-documentaire de deux heures puis cette série de 4 épisodes de presqu’une heure chacun (d’une durée totale de 3h40) titrée « JFK – Un destin trahi » reviennent trente ans après sur son chef-d’œuvre, « JFK » de 1991 et son pavé dans la mare.

    Toujours relatif au « crime du siècle » il aborde toutes les controverses les unes à la suite des autres, dans un désordre un peu revendiqué. On en a le tournis, devant toutes les preuves fouillées sur les contractions du Rapport Warren : le château s’écroule encore davantage. Le scénario n’est étonnement pas de Stone, mais du seul James Dieugenio.
    L’on repère évidemment quelques allusions à « JFK » et la reprise du thème musical de John Williams devenu si célèbre. L’on s’aperçoit alors que le brulot de 1991 n’a pas pris une ride, par la rigueur déjà employée de Stone.
    Avec notamment un Bobby Kennedy Jr à la voix chevrotante émouvante, et un médecin ironique.

    Presque tous les éléments cités sont issus de papiers d’époques, retrouvés et soulignés pour nous, bien que leur référence ne soient pas cités et qu’ils apparaissent rapidement.
    Cette série est ici filmée à froid, avec le recul, comme un sujet obsédant, tout entier dirigé ver la recherche de la vérité et la dénonciation de la mascarade de l’époque. Et enrichie et amplifiée de l’enquête de 1977-79, la loi du Congrès de 1992 et les vagues de documents révélés et appuyés depuis, notamment des trop peu sujets déclassés du Président Trump (par rapport au projet tonitruant initial).

    L’on cite aussi le HSCA (« House Select Committee on Assassinations », « Comité restreint de la Chambre sur les assassinats ») [commission d’enquête créée par la Chambre des représentants des États-Unis (l'une des deux chambres du Congrès américain) en 1976 pour enquêter sur l'assassinat de John F. Kennedy et celui de Martin Luther King. Le HSCA enquêta jusqu'en 1978 et remit son rapport en 1979] ; le JFK ARRD (« Assassination Records Review Board ») composé de citoyens américains ; ainsi que le « JFK Records Act House Vote » et une décision du 30 septembre 1992.
    Il n’a pas eu froid aux yeux à l’époque de « JFK » : on voit Stone assurer la convocation du Congrès de 1992, tel un procès afin de se justifier, encore et encore.

    Le seul défaut de mon point de vue – tout comme le film « L’enquête » réduit à deux heures (voir ma critique sur ce film) - demeure l’emploi de la musique additionnelle souvent présente et quasi constante, pas forcément nécessaire. La compréhension est déjà si complexe qu’elle mobilise toute notre attention pour comprendre les ramifications, entrevoir ses motivations et nous faire se dresser notre opinion, que durant l’exposé des faits parfois très dense et touffu, et encore par ce montage serré distillant sans cesse des informations, montrant énormément de documents (plusieurs par écran parfois), l’on peut perdre un peu d’attention par son utilisation.
    L’on peut aussi avancer qu’il put employer et convoquer des intervenants qui servirent ses propos. Aucun autre en faveur de la thèse officielle. Lors de ses questions à ses intervenants il est filmé en contre-champ, jamais on ne le voit ensemble avec eux. Et on le voit aussi dans une position humble de questionneurs : en aucun cas surplombant par arrogance.

    Ne sont pas évoqués – ou de manière très partielle - la recomposition du visage du Président décédé en cire par un expert appelé à la rescousse, l’éventuel transfert du caveau de Kennedy à l’aéroport de Dallas pour le travailler (transfert en un caveau correct puis arrivée à Parkland dans un caveau quelconque…), le film de Zapruder trafiqué avec ses zooms incompréhensibles, pouvant refléter la coupe de certaines images (il l’évoque dans son monologue à son hôtel en bonus) et toutes les nombreuses vidéos du public effectuées puis toutes confisquées par le FBI : on ne parle maintenant que de celui d’Abraham Zapruder, alors que toutes les vidéos prises et complémentaires tombèrent opportunément dans les limbes de l’oubli… et avec personne pour les rappeler.

    Stone démonte les approximations, mensonges grossiers, de la théorie officielle… Mais il enfonce tous les clous et n’écarte pas un seul des défauts et mensonges officiels. Un seul eut suffi à régler son compte à la théorie et l’envoyer dans les mensonges éhontés de l’Histoire. Comme de révéler (encore) la destruction de documents en janvier 1995.

    Rigueur, persévérance, constance, soin et densité : il ne se place pas au centre ni en avant, et participe simplement, humblement, mais coiffe le tout, aidé d’extraits savamment choisis.
    Très touffu dans ses épisodes, il fourmille aussi de virtuosité. Il demeure maintenant un complément essentiel au film d’origine, qui l’on revoit pour l’occasion…

    En bonus, l’analyse intéressant de Jean-Baptiste Thoret : « Stone, en historier, veut savoir la vérité. »
    Il touche à toutes les raisons et doutes, et revient longuement sur nombre de faits troublants, dont la balle magique. Qu’il dit ridicule en la résumant en un mot, dans son monologue, en bonus de « L’enquête ».
    L’ensemble est animé de densité extrême : on sent qu’il a tellement à dire, révéler, et ce format de 4 heures lui sied bien mieux que l’amputation de son enquête, enchâssée dans un format de deux heures dans « L’enquête ».
    Sujet polémique à foison, il use des ressorts du thriller mais non bouillonnant.
    Lui reste sobre dans ses questions, a contrario de style très animé de son cinéma très fourni, tel qu’il a pu nous y habituer : sans répit, avec peu de pause il aligne les sujets sous forme de preuves filmées et les accumule.

    Prolixe dans cette succession de sujets qu’il maîtrise depuis son « JFK », tel Jim Garrison qu’il a porté, Oliver Stone se voit peut-être comme la « Prince de la vérité grand public » de ce meurtre, auréolé de son saisissant succès en 1991-2. Ici non agressif mais pertinent, sans colère apparente sinon muée en questions devant un acteur/intervenant/spécialiste ou politique, ayant ruminé ses raisons et preuves, il place en exergue les mécanismes du pouvoir, le culot d’un petit nombre mais aux fonctions clés et cruciales dans la réussite du projet, la manipulation des faits dans la coordination, mais aussi les approximations, les paniques successives et mensonges honteusement usités afin de tout diriger vers une seule thèse unique. Avec patience et accumulation, la collecte et l’analyse des faits particuliers et remarquables comblent les plus réfractaires aux thèses « complotistes ».

    Cinéaste engagé, critiqué, salué ou détesté, il est celui des traumatismes américains. Il revient ici étudier et fouiller ce sujet qui compte et qui l’a marqué, faisant le point très fouillé de tous les faits ciblés et encore troubles, rebondissant constamment sur cette recherche de vérité.
    En réflexion et sans agitation, obstiné, il tente sa démonstration avec tous ces sujets successifs. Malgré l’aspect indéniablement « catalogue », il emporte l’adhésion qui est la somme de toutes ces preuves filmées.

    Ce sujet le hante, pour y revenir trente ans après. Ici encore et avec le recul, mais toujours avec obsession, il développe uniquement ces preuves pour les porter soigneusement au grand public.
    Tous ces détails zoomés, les habitués les connaissent bien, et les plus connus les connaissent même par cœur, et les attendent même. On suit « le meurtre du siècle » ainsi éclairé et expliqué, et on salive devant leur développement.
    Sujet non périmé, toujours contemporain même si tous les acteurs et témoins se rarifient après six décennies passées, on y adhère aisément.
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