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Django [Blu-Ray]

Franco Nero (Acteur), José Bódalo (Acteur), Sergio Corbucci (Réalisateur) Classé: Tous publics Format : Blu-ray
4,5 sur 5 étoiles 1 035 évaluations
IMDb7.2/10.0
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Genre Western
Format Couleur
Contributeur Sergio Corbucci, Gino Pernice, Simón Arriaga, Loredana Nusciak, Franco Nero, Giovanni Ivan Scratuglia, Angel Alvarez, Remo De Angelis, José Bódalo Voir plus
Langue Anglais, Français, Italien
Durée d’exécution 1 heure et 32 minutes
Nombre de disques 1
Fabricant Arcadès

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Description du produit

Nouvelle restauration 4K

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 1.66:1
  • Classé ‏ : ‎ Tous publics
  • Dimensions du produit (L x l x h) ‏ : ‎ 13 x 1 x 17,1 cm; 100 grammes
  • Réalisateur ‏ : ‎ Sergio Corbucci
  • Format ‏ : ‎ Couleur
  • Durée ‏ : ‎ 1 heure et 32 minutes
  • Date de sortie ‏ : ‎ 3 novembre 2021
  • Acteurs ‏ : ‎ Franco Nero, José Bódalo, Loredana Nusciak, Angel Alvarez, Gino Pernice
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Français
  • Langue ‏ : ‎ Anglais (Dolby Digital 2.0), Italien (Dolby Digital 2.0), Français (Dolby Digital 2.0)
  • Studio  ‏ : ‎ Arcadès
  • ASIN ‏ : ‎ B098GYT9Z3
  • Pays d'origine ‏ : ‎ France
  • Nombre de disques ‏ : ‎ 1
  • Commentaires client :
    4,5 sur 5 étoiles 1 035 évaluations

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4,5 étoiles sur 5
1 035 évaluations globales

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Témoignages de clients

Les clients sont satisfaits de l'apparence du film. Ils le décrivent comme superbe, avec une belle édition et un beau sang. De plus, ils mentionnent que la qualité est excellente, conforme aux attentes et qu'il tient bien l'ambiance. Le jeu d'acteur est excellent et les regards glaçants sont également soulignés.

Généré par IA à partir du texte des commentaires clients

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11 mention des clients "Apparence"11 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la beauté du produit. Ils mentionnent que le sang est beau et que tout est bien original. De plus, ils soulignent les regards glaçants et la belle édition de Amazon.

"...A part le très beau Franco Nero, on remarquera l'interprète féminine principale (Loredana Nusciak) qui a des faux airs de Claudia Cardinale..." Développer

"...à l'intérieur ont trouve que le CD.. pas de livre.. parcontre tout est bien originale, dialogue scène ras !..." Développer

"superbe, tant pour les couleurs que la vivacité qui ressort dans chaque scène...en blu ray ...c'est tellement plus passionnant de visionner les..." Développer

"Super DVD , emballage propre et soigné , livraison rapide conforme au attente je recommande à 100%" Développer

8 mention des clients "Qualité du film"8 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité du film. Ils le décrivent comme un superbe film de Quentin Tarantino, offrant un super jeu d'acteur et un western moderne digne des grandes chevauchées.

"Un superbe film de Quentin Tarantino. Un super jeu d'acteur et un western moderne digne des grandes chevauchées de l'ouest...." Développer

"Très bon film à voir ou à revoir avec autant de plaisir. Néanmoins la qualité d'image n'est pas au top." Développer

"Super DVD , emballage propre et soigné , livraison rapide conforme au attente je recommande à 100%" Développer

"...LEONE (La trilogie du dollar), mais valent tout de même le détour... Bons films...!" Développer

6 mention des clients "Qualité"6 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité du produit. Ils le trouvent conforme et excellent.

"le django de quentin tarantin est très bien mais celui de sergio corbucci est excellent..." Développer

"Excellent, un classique pour les amateurs du genre, l’ambiance est incroyable." Développer

"Rapide, produit conforme, merci" Développer

"Très bon Fournisseur..." Développer

5 mention des clients "Ambiance"5 positifs0 négatifs

Les clients apprécient l'ambiance captivante du film. Ils le trouvent saisissant et agréable à revoir, notamment grâce à sa musique envoutante.

"Excellent, un classique pour les amateurs du genre, l’ambiance est incroyable." Développer

"...la même ambiance que "Django Unchained". Seul l'ambiance est semblable au film, le reste est purement digne des westerns de Sergio Leone :..." Développer

"Film déjà vu il y a plus de 30 ans... Et pourtant, il reste agréable à revoir...." Développer

"Un classique du genre, une ambiance captivante, une musique envoutante, des regards glaçants... Attention à vos colts, vérifiez s'ils..." Développer

3 mention des clients "Qualité de l'histoire"3 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité de l'histoire du film. Ils mentionnent que c'est un excellent Tarantino sur le thème de l’esclavage et qu'il est très bien.

"le django de quentin tarantin est très bien mais celui de sergio corbucci est excellent..." Développer

"Excellent Tarantino sur le thème de l’esclavage...." Développer

"Superbe film, bien filmé, belle histoire, attention un peu gore." Développer

Super édition
5 étoile(s) sur 5
Super édition
Très belle édition de ce film.
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Meilleures évaluations de France

  • Mr. Daniel Zehnacker
    5,0 sur 5 étoiles Western boueux
    Avis laissé en France le 22 juin 2013
    Achat vérifié
    En revoyant ce film dans la version restaurée (mais pas parfaite) qui nous est proposée ici, on s'aperçoit qu'il produit toujours le même effet de violence et de cruauté. Ce sadisme programmé est d'autant plus impressionnant qu'il se déroule constamment dans la boue. Lorsqu'apparait le personnage de Django, trainant derrière lui un cercueil, et s'arrêtant pour voir une femme se faire fouetter par plusieurs individus déterminés à la faire souffrir le plus possible, on se demande à quel moment il va intervenir pour essayer de la sauver, mais il ne le fera que lorsqu'une bande rivale viendra exterminer les premiers tortionnaires. C'est dire d'emblée que les empoignades seront rudes, durant toute la longueur du film.
    Conflit entre américains et mexicains dans une bourgade tout près de la frontière mexicaine, on aura vite compris à quoi va servir le cercueil lorsque, prostré derrière un tronc d'arbre dans la cour de la rue principale, Django attendra patiemment que débarquent 50 cavaliers portant des masques rouges, venus lui faire la peau....
    Je ne sais pas si Tarantino s'est inspiré de la scène où le chef mexicain tranche l'oreille d'un des américains, pour en faire une sorte de "remake" dans son "Reservoir dogs", mais on pourra apercevoir (très, très rapidement) la présence furtive de Franco Nero dans le récent "Django unchained" du même Tarantino. A part le très beau Franco Nero, on remarquera l'interprète féminine principale (Loredana Nusciak) qui a des faux airs de Claudia Cardinale (la puissance dramatique en moins) dans "Il était une fois dans l'Ouest" de Sergio Leone.
    Bref, un western qui n'a rien perdu, près de 50 ans après, de sa force et de sa sauvagerie. Ps : excellentes interviews de près de 30 minutes, en complément de programme.
    6 personnes ont trouvé cela utile
    Utile
     Signaler
  • sylvain motelay
    5,0 sur 5 étoiles Le meilleur
    Avis laissé en France le 12 mars 2025
    Achat vérifié
    L'original !!
    A posséder dans toute bonne vidéothèque de fan de Franco Nero
    Utile
     Signaler
  • Deneuville
    5,0 sur 5 étoiles Retour suite achat
    Avis laissé en France le 25 août 2024
    Achat vérifié
    Ras. Je recommande vivement
    Utile
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  • Fina client depuis 2017
    4,0 sur 5 étoiles vrai film pas de soucis mais, je doute que ce soit un blueray
    Avis laissé en France le 12 juin 2019
    Achat vérifié
    Reçu aujourd'hui, produit conforme à la description, mais doute sur le blueray je pense sais un DVD, à l'intérieur ont trouve que le CD.. pas de livre.. parcontre tout est bien originale, dialogue scène ras ! mais je doute avoir acheter un DVD au lieu de blueray pourtant bien sélectionné lors de l'achat..le disque paraît neuf il es nullement mentionner bluray
    Une personne a trouvé cela utile
    Utile
     Signaler
  • Client d'Amazon
    5,0 sur 5 étoiles parfait
    Avis laissé en France le 2 août 2023
    Achat vérifié
    le django de quentin tarantin est très bien mais celui de sergio corbucci est excellent
    j'ai vu ce film au ciné, en VHS, en DVD et maintenant en Blu-ray et je suis toujours autant satisfait
    merci.
    Utile
     Signaler
  • ARMSPACH Jean-Marie
    5,0 sur 5 étoiles La justesse de la description et le soins dans l'éxécution du coffret.
    Avis laissé en France le 5 novembre 2021
    Achat vérifié
    Rien à redire sur le coffret.; avec un bémol, la feuille collé par 2 point en diagonale 11 et 5 heurs permettant de le soulever et derrière lequel en bas du coffret on peu y lire les noms des acteurs, du réalisateur, du producteur etc...
    Une feuille supplémentaire contenant ces informations aurai pu être glissée dans le coffret, cette feuille aurait pu 'être complètement collée à l'arrière de la boîte contenant les disques libre de toute écriture et ainsi éviter pour l'avenir les arrachements lors des manipulatios.
    Utile
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  • clabou
    5,0 sur 5 étoiles Tres belle restauration
    Avis laissé en France le 6 septembre 2023
    Achat vérifié
    Ce western préféré de TARANTINO a été très bien restauré en BLURAY et me permet de me débarrasser sans regret du DVD initial de très mauvaise qualité acquis par avant. Je suis très satisfait de mon achat, même si la livraison a un peu tardé.
    Utile
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  • Alex
    5,0 sur 5 étoiles Excellent !
    Avis laissé en France le 11 décembre 2022
    Achat vérifié
    Excellent, un classique pour les amateurs du genre, l’ambiance est incroyable.
    Utile
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Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

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  • Peer
    5,0 sur 5 étoiles "Django - Unbarmherzig wie die Sonne": Einzigartiges Meisterwerk des Italo-Western
    Avis laissé en Allemagne le 16 février 2016
    Achat vérifié
    ACHTUNG: Da Amazon meine Rezension offenbar auch mit seinem "Prime"-Streaming-Angebot des originalen "Django" mit Franco Nero verknüpft hat, erscheint sie ohne meine Einflussmöglichkeit ebendort. Zweifellos hat auch "Django" als einer der großen Klassiker der Filmgeschichte fünf Sterne und eine Lobeshymne verdient, also unbedingt anschauen!
    - nur hat meine nachfolgende Rezension von "Django - Unbarmherzig wie die Sonne" nichts damit zu tun (wie auch die beiden Filme inhaltlich in keinerlei Zusammenhang stehen: der Name "Django" wurde allein aufgrund seiner Werbewirksamkeit für eine Vielzahl von mehr oder weniger guten Italo-Western verwendet, da der Name nie unter Markenschutz stand).

    Im informativen und launig erzählten "Making of" erwähnt Regisseur und Drehbuchautor Mario Lanfranchi in der Rückschau seine Herangehensweise: "Ich wollte keinen spektakulären Film drehen." Das ist ihm im allerbesten Sinne gelungen, denn nicht ein Spektakel, sondern eine einfache, aber sorgfältig ausgearbeitete Geschichte sowie ausgefeilte Charaktere und stimmungsvolle Schauplätze stehen im Mittelpunkt.
    Ungewöhnlich für das Western-Genre, erzählt Lanfranchi seinen Film in vier Episoden, die durch eine Rahmenhandlung miteinander verwoben sind.

    Der deutsche Titel, der anders als das italienische Original den Namen "Django" trägt, ist eher ungelenk. Aber schon die erste Szene in der Wüste vermittelt dann doch seine Sinnhaftigkeit: der Held ist "Unbarmherzig wie die Sonne". Der Originaltitel ist trotzdem klangvoller: "Sentenza di morte" (zu Deutsch: "Todesurteil").

    Überhaupt ist die erste Episode ein überaus starker Einstieg. Nach und nach erschließt sich dem Zuschauer durch knackig-knappe Rückblenden und aus Andeutungen in den Dialogen, warum sich die beiden Männer in Sichtweite voneinander durch die Wüste schleppen. Es mag zwar nicht übermäßig glaubwürdig sein, dass Diaz ohne Wasser ausgerechnet in die Wüste flieht. Hat man das jedoch akzeptiert, ist das folgende Geschehen in sich stimmig und sehr spannend ausgestaltet. Wie auch im weiteren Filmverlauf sind die Schießereien in der Hacienda hervorragend choreografiert. Auch der Kameramann Antonio Secchi hat ganze Arbeitet geleistet und fängt die abweisende Stimmung der Wüste und die sonnenverätzen Gesichter der beiden Männer meisterhaft ein.
    Robin Clarke, der sicher nicht zufällig in seiner Erscheinung an Clint Eastwood erinnert und doch einen eigenständigen Darstellungsstil zeigt, spielt die Hauptrolle des Django (im Original Cash genannt). Schon bei seinem ersten Auftritt nimmt er den Zuschauer für den gebrochenen, wahrlich unbarmherzigen Helden ein. Er unterspielt seine Rolle gekonnt (und erinnert auch darin an Eastwood, ohne ihn nachzuahmen). Umso mehr wirken die wenigen Momente, in denen er seinen Django aus seiner lässig-kühlen Grundhaltung ausbrechen lässt. Es verwundert mich sehr, dass Clarke trotz seines Talents und seiner bemerkenswerten Ausstrahlung keine nennenswerte Karriere vergönnt war. Richard Conte, ein Schauspieler mit einer respektablen Hollywood-Karriere, spielt Djangos ersten Gegner glaubwürdig. Von allen vier Gegenspielern ist sein Diaz sicher der unscheinbarste. Und er ist der einzige, der sich reuig-einsichtig zeigt, was seine Verfolgung durch Django noch unerbittlicher wirken lässt.

    Die zweite Episode wechselt die Szenerie radikal und ist fast ein Kammerspiel. Größtenteils spielt sich das Geschehen in einem einzigen Raum, einer Bar, ab. Django fordert Montero zum Pokerspiel heraus. Auch hier ist die Kameraarbeit hervorragend, besonders beeindruckend etwa der Wechsel in die Vogelperspektive mit Blick über den Pokertisch oder der elegante Kameraschwenk um den Hinterkopf von Montero während der Partie. Enrico Maria Salerno, ein ungemein wandlungsfähiger Schauspieler, zeigt seinen Montero als intellektuell-gewiefte Spielernatur, der der Sieg mehr bedeutet als der tatsächliche Gewinn. Salerno kann seine große Schauspielkunst insbesondere in den zahlreichen Nahaufnahmen zeigen, in denen sein Blick und seine Gestik Bände sprechen. Montero begegnet Clarkes' Django absolut auf Augenhöhe in diesem intensiven Psycho-Duell, der Ausgang scheint bis zuletzt offen. Nicht nur deshalb ist die Spannung groß. Auch der hinterhältige Angriff von Monteros Scherge ist klasse inszeniert. Er deutet sich für den Bruchteil einer Sekunde in Monteros Blick an, so dass Djangos schnelle Reaktion durchaus realistisch erscheint. Auch die Sterbeszene ist ungewohnt realistisch dargestellt, geht der Scherge nach dem Treffer doch noch ein paar Schritte, bevor er tot zusammenbricht. Tragisch, gerade weil nicht theatralisch inszeniert, ist der Tod der Bardame. Er lässt selbst Django für einen kurzen Moment die Beherrschung verlieren...
    Schließlich wird auch Djangos Markenzeichen eingeführt. Seine Vorliebe für Milch wirkt interessanterweise nicht aufgesetzt, erklärt sie sich doch schlüssig aus seinem zuvor im Film bereits erwähnten Alkoholismus.

    Mit der dritten Episode findet die Religion Eingang in den Film. Das Gebaren des selbsternannten (?) "Padre" Baldwin und seiner Begleiter darf als satirische Kritik an der wohlbekannten Doppelmoral vieler Würdenträger der (hier katholischen) Kirche verstanden werden. Scheinheilig und mit großen Worten bezichtigt er drei einfache Bauern unchristlicher Verfehlungen, um sie anschließend erbarmungslos zu exekutieren. Charmanterweise verzockt sich Django in der Auseinandersetzung mit "Bruder" Baldwin. Er ist damit spätestens jetzt nicht mehr ein Über-Held, der das Geschehen dominiert.
    Ein neuer, rätselhafter Aspekt ergänzt die Rahmenhandlung, denn Baldwin glaubt, dass Django um einen Goldschatz weiß. Baldwin begnügt sich daher vorerst damit, Django ins Bein zu schießen und in der Wildnis auszusetzen, um ihn später zum Reden zu bringen. Hier zeigt sich erneut die Klasse von Mario Lanfranchi, der den Film nicht nur inszenierte sondern auch das Drehbuch schrieb: Django erkennt seine scheinbar ausweglose Situation und ist sichtlich verzweifelt. Und die Auflösung, dass Django unter größten Schmerzen das Projektil, das in seinem verletzten Bein steckt, wiederverwendet, mag technisch unsinnig sein (ich bin kein Arzt und kein Munitionsexperte), ist in sich aber sehr schlüssig ausgestaltet. Adolfo Celi verkörpert "Bruder" Baldwin angemessen diabolisch, ohne ins theatralische abzugleiten. Dadurch bleibt seine Figur bei aller satirischen Überhöhung durchaus glaubwürdig. Robert Clarke zeigt seinen Django in dieser Episode als - buchstäblich - verletzlichen Helden. Das Szenenbild und die Fotografie sind ein weiteres Mal erstklassig, insbesondere die Nachtszene mit den Fackel-Reitern und Baldwin als "schwarzer Dämon" im Hintergrund beeindruckt.

    Zum Abschluss folgt die vierte Episode, die wohl in erster Linie zur parteiweisen Ablehnung des Films bei Kritik und auch Publikum führte. Der Literatur ist jedenfalls zu entnehmen, dass "Sentenza di morte" bei der zeitgenössischen Kritik heftig umstritten war und dabei insbesondere Djangos Auseinandersetzung mit O'Hara im Fokus der Filmrichter stand. Zweifellos ist die Figur des Albinos sehr theatralisch angelegt. In meinen Augen ist sie jedoch dank Tomás Miliáns Schauspielkunst ein eindrucksvoller Bösewicht: sein O'Hara ist ein hysterischer, psychopatischer Killer, dessen übermäßige Zuneigung einzig Gold und blonden Frauen gilt. Schon sein erster Auftritt verdeutlicht das: liebevoll und zugleich irre spielt O'Hara mit einem Goldstück und vergleicht es mit der Haut einer blonden Frau (!). Auch in kleinen Details ist Miliáns Darstellung stimmig - als Beispiel seien seine stark lichtempfindlichen und ohne Brille permanent zusammengekniffenen Augen genannt. Sicher überspielt er seine Figur. Doch gerade dadurch wirkt das Zusammentreffen mit Robin Clarkes unterspieltem Django faszinierend: zwei krasse Gegensätze treffen aufeinander.
    Zuvor schon brennt sich ein Dialog für die Ewigkeit ins Gedächtnis ein:
    Django: "Ich erwarte morgen eine Wagenladung Gold."
    Barkeeper (lacht): "Werd' erstmal wieder nüchtern."
    Django (schwenkt lakonisch sein Milchglas und tippt darauf): "Ich trinke nur Milch."
    So geht lässig-trockener Humor.
    Eine weitere Szene entfaltet nur im italienischen Original ihre Klasse. Django vergleicht hier die erwartete Ankunft von O'Hara mit dem Leeren einer Milchflasche: "Un'ora. Due ore. Tre ore. Arrivo O'Hara...". Ein schönes Wortspiel, das weder auf Deutsch noch auf Englisch funktioniert.
    Das Szenenbild mit der verlassenen Klosterruine im Finale ist atmosphärisch düster und damit ein perfekter Schauplatz für die letzte Pointe des Films: O'Hara glaubt Django endgültig ausgetrickst zu haben und lässt Django spöttisch dessen eigenes Grab schaufeln. Tatsächlich aber wird es sein eigenes werden.

    Für den deutschen Markt wurde der Film zwar textlich durchaus gelungen übersetzt, aber die deutschen Sprecher wirken fast durchgehend lustlos und ihr Tonfall ist größtenteils eintönig. Eine echte Fehlbesetzung ist Harald Juhnke (!) als Stimme von O'Hara. Er wird der exaltierten Figur überhaupt nicht gerecht. Leider geht dadurch viel Atmosphäre verloren. Ich empfehle daher dringend die originale italienische Sprachfassung mit deutschen Untertiteln zu wählen (auf der DVD enthalten). Die italienischen Sprecher (der Brite Robin Clarke wurde beispielsweise synchronisiert) verstehen ihr Handwerk deutlich besser.

    Der Soundtrack von Gianni Ferrio mag vielleicht nicht ganz so eingängig sein wie (einige) der Western-Scores des berühmteren Ennio Morricone. Im Grunde lassen sich die Arbeiten aber auch schlecht vergleichen, pflegt Ferrio doch anders als Morricone einen mehr am Jazz als an klassischer Musik orientierten Stil. Jedenfalls unterstützt seine Musik die Stimmung des Films ausgezeichnet. Auch der Titelsong "The last game" ist gelungen.

    Das Bild und der Ton der DVD sind - eingedenk eines über 40 Jahre alten Ausgangsmaterials - technisch gut aufbereitet. Leider gibt es derzeit (2016) noch keine Aussicht auf eine HD-Veröffentlichung. Das Filmmaterial hat sicher noch Potenzial, so meine Hoffnung angesichts einiger starker HD-Veröffentlichungen von anderen Italo-Western aus dieser Zeit.

    Insgesamt ein großer, einzigartig gebliebener Klassiker, der auf einer Stufe mit den besten Werken von Sergio Leone, Sergio Corbucci oder Sergio Sollima steht. Umso bedauerlicher ist es, dass Mario Lanfranchi nur diesen einen Western drehte.
    Signaler
  • Giacinto
    5,0 sur 5 étoiles Django
    Avis laissé en Italie le 19 avril 2024
    Achat vérifié
    Film ottimo
    Signaler
  • Clinton K. Bernes
    5,0 sur 5 étoiles The Finest
    Avis laissé au Canada le 12 décembre 2010
    Achat vérifié
    A Magnum Opus of Italian westerns, just short of Leone's classic films. Iconic imagery and an excellent performance by Franco Nero have led to many homages and references in other (contemporary) works, notably Lucas and Tarantino.

    The Blu-ray presentation is the best available, using a recently discovered print. Film grain is present, but perfectly understandable given the age of the film. I'd recommend checking out the DVDBeaver review for in-depth analysis of the image itself and technical details.

    I'd recommend the Italian audio track and not the dub-- the former is the original presentation as meant to be seen. The dub itself is admittedly a poor job, and distracts from the experience of the film.

    A great film from a great era in filmmmaking, and not to be missed. Such films heralded more complex characters who were morally ambivalent and less clear-cut, which is a good thing. John Wayne-type characters who always had the moral justification for everything they do are not realistic or interesting-- the Italian westerns allowed the characters, even the heroes, to have a dark side and have shades of grey in them.
    Signaler
  • MarkMJ Green
    5,0 sur 5 étoiles Genre defining.
    Avis laissé au Royaume-Uni le 20 juillet 2012
    Achat vérifié
    Opening with a really memorable and iconic theme tune (that was even mimicked in the animated film Rango [DVD]) the film starts with a shot of Django (Franco Nero) making his way through the mud and filth, dragging his trademark coffin behind him.

    On his travels Django encounters a woman in a spot of bother. After helping the lady Django heads to a nearby town where he has some business to attend to. The town is a squalid looking ramshackle place with a wealth of mud and not much else.

    The town also happens to be in the middle of a feud between a group of Mexicans and one Major Jackson and his gang. On top of all that it sounds as if the woman that Django just rescued has also managed to upset both sides.

    Although being dangerously outnumbered, Django might just have a trick up his sleeve (or in his coffin) that may even the odds.

    The film stock is showing its age but on the whole the quality is really good and the only really noticeable thing that I'm surprised hasn't been tidied up is the sound which is slightly out of synch at times; the lip synching being particularly noticeable. Fortunately that doesn't deter from the enjoyment that's to be had watching this film and for me it all just adds to the experience.

    The film has its faults but still manages to be enjoyable despite them.

    The film spawned countless sequels (and even a Japanese prequel Sukiyaki Western Django [DVD]) of varying quality but this one is the best of the bunch. There are few nice extras on the DVD but not as many or as much as one would hope for with such an iconic film, although it does boast a nice reversible sleeve.

    If anyone is a fan of Westerns, especially Spaghetti Westerns, then this is an essential purchase
    Signaler
  • ナちゃん
    5,0 sur 5 étoiles 奇想天外なマカロニウエスタン
    Avis laissé au Japon le 23 avril 2024
    Achat vérifié
    昔、テレビでオンエアされていた当時の吹き替えそのものだったので、懐かしく鑑賞出来た。
    当時の俳優の生の声（字幕）も今となっては貴重だが、各キャストの個性的な吹き替え（特に酒場の店主）は、洋画を更に楽しませてくれる職人技でもあり、十分見ごたえがある。
    Signaler
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