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Avant Le déluge [Blu-Ray]
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Genre | Drame |
Format | Noir et blanc |
Contributeur | Roger Coggio, Line Noro, Jacques Fayet, Carlo Ninchi, Paul Bisciglia, Jacques Castelot, Bernard Blier, Paul Frankeur, Antoine Balpêtré, André Cayatte, Isa Miranda, Jacques Chabassol Voir plus |
Date de sortie initiale | 2011-09-16T00:00:00Z |
Langue | Français |
Durée d’exécution | 2 heures et 18 minutes |
Studio | Gaumont |
Sous-titre | français |
Couleur | Noir et blanc |
Nombre de disques | 1 |
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![Avant Le déluge [Blu-Ray]](https://images-eu.ssl-images-amazon.com/images/I/61-Kpd7GF1S._AC_UL116_SR116,116_.jpg)
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Description du produit
Avant le déluge, 1 Blu-ray, 138 minutes
Détails sur le produit
- Rapport de forme : 1.37:1
- Classé : Tous publics
- Dimensions du colis : 17,2 x 13,6 x 1,2 cm; 100 grammes
- Audio description : : Français
- Réalisateur : André Cayatte
- Format : Noir et blanc
- Durée : 2 heures et 18 minutes
- Date de sortie : 20 novembre 2019
- Acteurs : Antoine Balpêtré, Paul Bisciglia, Line Noro, Bernard Blier, Jacques Castelot
- Doublé : : Français
- Sous-titres : : Français
- Langue : Français (DTS-HD 2.0)
- Studio : Gaumont
- ASIN : B07WRFKGB1
- Pays d'origine : France
- Nombre de disques : 1
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 53 138 en DVD et Blu-ray (Voir les 100 premiers en DVD et Blu-ray)
- 8 587 en Policier
- 17 219 en Drame et émotion
- 17 545 en Blu-ray
- Commentaires client :
Commentaires client
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- Avis laissé en France le 5 avril 2018Ce film réalisé par Cayatte en 1954 raconte l'histoire, en 1950, en pleine guerre froide et au sortir de la 2ème guerre mondiale, d'un groupe de jeunes gens paniqués par la menance d'une nouvelle guerre mondiale qui projettent de fuir dans une île du Pacifique. L'aventure tourne très mal et se termine aux Assises.
Ce film est terrifiant, reste très actuel et interpelle le spectateur à plusieurs niveaux :
- La responsabilité des parents et leur influence sur le comportement de leurs enfants
- La responsabilité des médias qui mettent la pression : la menace liée à l'affrontement en Corée n'est pas plutôt éteinte que les médias lancent une nouvelle menace de guerre pour le pétrole …
- Dans leur enthousiasme, les jeunes ont su faire table rase du passé et notamment des influences familiales néfastes ; aux premières difficultés, cependant, voilà que les vieux démons et les clivages ressurgissent
Oui, ce film mérite d'être découvert ou redécouvert ; à noter, un des tous premiers rôles de Marina Vlady qui n'a pas pu voir le film à la générale n'ayant pas encore 16 ans …
D'un point de vue technique, image et bande-son bonnes.
- Avis laissé en France le 24 novembre 2019c'est un pur plaisir de voir ce film dans cette qualité; tout est parfait; de plus l'histoire est passionnante et les dialogues sont percutants;
- Avis laissé en France le 3 juin 2016J'avais acheté ce film d'André Cayatte en 2008 dans une excellente édition (remasterisé haute définition et restauration numérique) aujourd'hui épuisée. En consultant la jaquette du DVD à paraître, je constate que le nom de Marina Vlady a été omis et c'est fort dommage. Il s'agissait pour elle de son premier film en français pour lequel elle avait reçu le prix Suzanne-Bianchetti. Tous les acteurs sont excellents, en particulier Bernard Blier, Antoine Balpêtré et Line Noro, brillant second rôle pendant de nombreuses années (je songe notamment à "Pépé le Moko" et à "La Symphonie pastorale, en épouse de Pierre Blanchar et "rivale" de Michèle Morgan). Dans "Avant le déluge", elle fait montre de tout son talent, qui était grand...
- Avis laissé en France le 15 octobre 2017Ce film de 1954 réalisé par André Cayatte, coécrit et dialogué par Charles Spaak, commence avec un avant-propos insolite mêlant l'équivoque et l'antiphrase pour avertir le spectateur que si tout y est fiction, tout pourrait être réel, et que sans intention de dénoncer l'antisémitisme dont les ravages sont alors récents, il le dénoncera quand même, un avant-propos qui m'a d'emblée conduite à me demander ce que André Cayatte entendait démontrer à travers son récit car l'œuvre d'André Cayatte se signale par ses motivations démonstratives, c'est ce qui me gêne souvent chez lui et beaucoup ici.
Le récit s'ouvre dans une cour d'assises où sont jugés quatre jeunes gens, trois garçons et une fille, pour homicide volontaire, assassinat (autrement dit homicide volontaire aggravé de préméditation) et complicité de ces crimes s'agissant de cette dernière.
Nous sommes à l'heure à laquelle la cour va se retirer pour délibérer à huis-clos, le récit ne viendra donc pas de l'audience des débats mais d'un retour en arrière permettant de comprendre, par un habile entrecroisement des séquences narratives, pourquoi Jean Arnaud (Jacques Chabassol), Philippe Boussard (Clément Thierry), Richard Dutoit (Jacques Fayet) et Liliane Noblet (Marina Vlady), mineurs d'à peine dix-sept ans (les garçons) et de seize ans (la fille) doivent répondre de ces crimes sous le regard de leurs parents montrés dans une posture d'accablement inerte : sans rien connaître encore de l'histoire, le spectateur doit comprendre instantanément que ce sont ces parents qui sont responsables de l'engrenage ayant conduit leurs enfants sur le banc des accusés, un message immédiatement administré par cette scène d'ouverture qui m'a fait penser à ce que disent les psy : "les parents ne sont pas coupables, ils ne sont pas capables"...
Des parents dont le profil est stéréotypé pour les besoins de l'histoire, on peut le comprendre, mais stéréotypes brossés à gros traits : Monsieur Noblet (Bernard Blier), veuf élevant seul ses deux enfants, est un enseignant idéaliste et un père bienveillant dont les conceptions éducatives confinent à la permissivité; Monsieur Dutoit (Antoine Balpêtré) est un musicien dont l'antisémitisme actif lui a valu d'être emprisonné pendant six mois après la Libération et qui trouve dans cette sanction dont pâtit sa carrière un motif supplémentaire de haïr les juifs et d'intoxiquer son fils avec cette haine; Monsieur Boussard (Paul Frankeur) est un spéculateur sans scrupules qui exporte ses capitaux à l'étranger; Madame Arnaud (Line Noro) est une femme abandonnée par un fonctionnaire mort en Indochine, qui élève plus qu'elle ne l'éduque le fils né d'une liaison sans avenir dans un enfermement ultra protecteur et donc symboliquement castrateur avec, en prime, le cliché de l'homosexualité vue comme une conséquence.
Les jeunes accusés sont quatre amis dans un petit groupe qui en comptait cinq : il y avait aussi Daniel Epstein (Roger Coggio) dont la famille a disparu dans un camp de concentration et qui reçoit des subsides d'un oncle d'Amérique.
Daniel sera leur victime.
Avant le drame, ces cinq adolescents sont unis par un projet né de leur peur panique d'une troisième guerre mondiale dont la guerre de Corée (1950-1953) est alors le spectre, un projet de fuite sur une île du Pacifique où ils seront à l'abri du danger, un projet pour l'accomplissement duquel il faut réunir les fonds qu'ils ne possèdent pas, alors ils ne trouvent pas d'autre expédient que de commettre un vol en réunion qui, c'était écrit, tournera mal car il y aura mort d'homme en la personne du veilleur de nuit dont la présence imprévue contrecarre leur entreprise.
Après ce "meurtre accidentel" ("un assassin, c'est un cambrioleur qu'on dérange" dit Sacha Guitry dans "Faisons un rêve"...), l'immaturité, l'inconséquence et la déraison atteindront leur paroxysme avec la mort de Daniel dans une scène évoquant sans le moindre filtre de l'allusion l'antisémitisme martelé par Monsieur Dutoit sur le cerveau malléable de son fils.
Avec un matériau à ce point massif et composite, construire un film alliant densité et fluidité, et donc captivant, était une gageure.
Gageure non relevée par André Cayatte à mon avis parce qu'avec cet arsenal de stéréotypes sociologiques et psychologiques, de contenus historiques et idéologiques, de messages non suggérés mais exhibés voire assénés, le spectateur peut peiner à entrer dans le récit et à le trouver crédible, et plus encore à s'attacher aux personnages, aussi bien ceux qui sont a priori attachants que ceux qui pourraient le devenir de manière inattendue, et ce jusqu'à l'énoncé du verdict qui clôt le film sans qu'à ce moment d'achèvement - mais pas de résolution unifiant toutes ces composantes hétérogènes -, une conclusion synthétique soit offerte à sa réflexion, à défaut de son émotion.
Les qualités de la réalisation et celles des acteurs (du côté des parents comme de celui des enfants) sont indéniables mais il faut autre chose pour qu'un film raconte au spectateur une histoire impliquant son imagination et sa sensibilité et, dès lors, lui permette de se l'approprier émotionnellement.
Après l'avoir vu, je ne me demandais plus ce que André Cayatte avait voulu démontrer, mon opinion étant qu'il avait voulu démontrer trop de choses et de manière trop... démonstrative.
- Avis laissé en France le 10 janvier 2010il est bon de savoir que Ingmar Bergman et Luis Bunuel aimaient "avant le déluge" !et moi aussi!J'aime André Cayatte ;sans lui il n'y aurait sans doute pas eu Costa-Gavras ou Boisset.Avant tout le monde,il a dénoncé la peine de mort ("nous sommes tous des assassins") ,parlé de l'euthanasie ("justice est faite) ,s'est penché sur les professeurs humiliés et persécutés ("les risques du métier" et "mourir d'aimer" ) a dénoncé les tares de la justice ("le glaive et la balance" "le dossier noir" )
"Avant le deluge" est la jeunesse des années 50 effrayés par la perspective d'une troisieme guerre mondiale et voulant avoir leur propre "arche de Noe" .Ils commettront un crime et se retrouveront aux assises.Fin d'un extrême pessimiste avec ces journaux qui s'envolent
- Avis laissé en France le 11 décembre 2022fantastique