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Un Grand Voyage vers la Nuit [Blu-Ray]

4,2 sur 5 étoiles 60 évaluations

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Prix Amazon
Neuf à partir de Occasion à partir de
Blu-ray
18 juin 2019
1
189,18 € 60,00 €
Genre Drame
Format Blu-ray
Contributeur Huang Jue, Zeng Meihuizi, Yongzhong Chen, Sylvia Chang, Lee Hong-Chi, Bi Gan, Tuan Chun-Hao, Tang Wei, Feiyang Luo Voir plus
Langue Français
Durée d’exécution 2 heures et 18 minutes
Couleur Couleur
Nombre de disques 1
Fabricant BAC Films

Description du produit

Contient :
- le Blu-ray du film en 3D active et en 2D
Boîtier Blu-ray avec fourreau

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 1.85:1
  • Classé ‏ : ‎ Tous publics
  • Réalisateur ‏ : ‎ Bi Gan
  • Format ‏ : ‎ Blu-ray
  • Durée ‏ : ‎ 2 heures et 18 minutes
  • Date de sortie ‏ : ‎ 18 juin 2019
  • Acteurs ‏ : ‎ Tang Wei, Huang Jue, Sylvia Chang, Lee Hong-Chi, Zeng Meihuizi
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Français
  • Langue ‏ : ‎ Mandarin (DTS-HD 5.1)
  • Studio  ‏ : ‎ BAC Films
  • ASIN ‏ : ‎ B07PWL4HQZ
  • Nombre de disques ‏ : ‎ 1
  • Commentaires client :
    4,2 sur 5 étoiles 60 évaluations

Commentaires client

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Film Chinois sous titré, pas intéressant et lassant. NUL
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Film Chinois sous titré, pas intéressant et lassant. NUL
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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 8 janvier 2024
    Tres belle édition , le master est tres bon, les pistes sonores parfaites . L'histoire captivante . J'adore .
  • Avis laissé en France le 8 novembre 2019
    Un conseil, oubliez les critiques diverses et variées et regardez ce film pour vous faire votre propre opinion. Il en vaut indéniablement la peine. Le reste est une question de sensibilité mais vous aurez vu du vrai cinéma! Personnellement j’ai adoré.
    13 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 10 août 2019
    Le réalisateur Bi Gan, né en 1989 dans le Guizhou, une région de la Chine traditionnellement déshéritée, en est avec « Un grand voyage vers la nuit », présenté à Cannes en 2018, à son second long métrage (le premier, qui m’a échappé, était Kaili Blues, mais à l’époque il avait peu de moyens et c’est donc avec celui-ci la première fois qu’il fait tout à fait ce qu’il veut). Le point de départ pourrait en être celui d’un film noir (dans l’entretien que contient le boîtier de cette édition, Bi Gan mentionne Assurance sur la mort) : un homme de retour dans sa ville natale, un meurtre, un revolver, une rencontre avec une femme, belle et mystérieuse, qui en évoque une autre, l’emprise sur cette femme d’un mafieux, le désir de partir loin et d’échapper à cette vie. Sauf que Bi Gan aspire à casser les codes, au « poétique », voire au « métaphysique » ( ici, il sera question du temps et de l’espace, de la mémoire et de l’imagination, du rêve et de la réalité… ). Dans un univers de polars et de films sociaux, il cherche autre chose, une ligne de fuite. La trouve-t-il, c’est toute la question, et en voyant et en revoyant le film, je suis resté perplexe.

    Si certains films peinent à trouver leur public tant la critique les a bien injustement éreintés à leur sortie (exemple, Sunset, de Laszlo Nemes), d’autres sont sur-vendus et cela n’aide pas à les voir pour ce qu’ils sont. Un quotidien bien connu pour ses jugements à l’emporte-pièce a parlé à propos de ce Voyage de « dérive déchirante et déchirée », et qualifié son grand Finale (pardon, c’est un plan-séquence d’une heure) de « folle prouesse ». Un autre organe de presse, qu’on croirait difficilement sur la même longueur d’ondes que le précédent, nous a dit que c’était « un miracle, un mirage et une illumination ». Fichtre ! Bi Gan a aussi été désigné par Thierry Frémeaux comme « l’enfant naturel de David Lynch et de Wong Kar-Wai », ce qui désigne une zone qui est à peu près le milieu de nulle part.

    Au final, l’harmonie des couleurs est heureuse, quelques moments d’onirisme nocturne sont bienvenus, Tang Wei, dans le rôle de l’obscur objet du désir, est toujours bien. On a dû dire à l’acteur principal, Huang Jue, qu’il fallait jouer « tout en sobriété », et ma foi, on aime bien sa grande carcasse à l’écran. Sylvia Chang, qu’on ne verra pas beaucoup, est une actrice de grande valeur. Le problème, c’est ce qu’ils ont à incarner, qui demeure assez schématique, et que les bribes de dialogue, débitées lentement, n’aident pas à enrichir. Dans l’entretien précité, le réalisateur dit qu’il s’intéresse plus à l’émotion qu’à la narration : soit, mais le film, qui brouille à plaisir les pistes, m’a fait l’effet d’un grand exercice de style, signé par quelqu’un qui indéniablement aime le cinéma, plutôt que de quelque chose de particulièrement abouti ou inspiré. Si on tient vraiment à comparer avec Wong Kar-Wai et à Nos années sauvages (certes, il pleut beaucoup dans le film de Bi Gan,mais l’analogie ne va pas loin), le réalisateur hong-kongais parvenait à nous intéresser aux bleus à l’âme de ses personnages et à instaurer une forme de fluidité narrative dans laquelle le spectateur trouvait aisément son bonheur – un autre bonheur, inattendu. Je ne suis pas sûr qu’on puisse s’intéresser autant à une quête dont l’objet hésite entre l’indéfinissable et la banalité.

    La très bonne édition ESC du film que je recense permet de voir la séquence finale en 3D, comme c’est prévu, si on le souhaite. Je l’avoue, je n’ai pas mis mes lunettes 3D au moment crucial. Est-ce finalement une affaire de lunettes, plus encore que de point de vue ?
    25 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 26 décembre 2022
    Image client
    MG
    1,0 sur 5 étoiles
    Film Chinois sous titré, pas intéressant et lassant. NUL

    Avis laissé en France le 26 décembre 2022

    Images dans cette revue
    Image client
  • Avis laissé en France le 22 septembre 2022
    En vrac, les cartésiens bornés gagneront du temps et des euros à ne pas investir dans ce film, les obsédés du rationnel (moi) à tout prix doivent s’attendre à recevoir un violent coup sur la tête, les fanatiques de structures narratives limpides (avec un début, un milieu et une fin) sortiront de la chose avec les neurones tordus façon bigoudi, et les intellos adeptes de la « ligne claire » feraient mieux de garder un tube d’aspirine à portée de main. A l’inverse, ceux qui restent ouverts à l’imprévu et à la perte bienfaisante de leurs repères n’en reviendront pas intacts; ce qui fut heureusement le cas lors de la présentation du film à la section "Un Certain Regard de Cannes 2018", où critique et public furent unanimes, pris au piège d’une expérience sensationnelle...
    A mon avis, cela reste assez moyen. A vous de juger!
    Une personne a trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 8 septembre 2022
    J'ai eu du mal à suivre. Peut-être qu'en regardant une deuxième fois, je comprendrai mieux le sens de l'histoire.
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