Luna Cloud gaming - Play EA Games
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Mandy [Blu-Ray]

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Genre Thriller
Format Blu-ray
Contributeur Olwen Fouéré, Panos Cosmatos, Richard Brake, Bill Duke, Andrea Riseborough, Linus Roache, Nicolas Cage, Ned Dennehy, Line Pillet Voir plus
Langue Anglais, Français, Hongrois
Durée d’exécution 2 heures et 1 minute
Couleur Couleur
Nombre de disques 1
Fabricant Universal Pictures Home Entertainment

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Description du produit

Mandy, 1 Blu-ray, 121 minutes

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 2.40:1
  • Classé ‏ : ‎ 16 ans et plus
  • Dimensions du colis ‏ : ‎ 17 x 13,6 x 1,2 cm; 60 grammes
  • Réalisateur ‏ : ‎ Panos Cosmatos
  • Format ‏ : ‎ Blu-ray
  • Durée ‏ : ‎ 2 heures et 1 minute
  • Date de sortie ‏ : ‎ 6 février 2019
  • Acteurs ‏ : ‎ Nicolas Cage, Andrea Riseborough, Linus Roache, Ned Dennehy, Olwen Fouéré
  • Doublé : ‏ : ‎ Anglais, Français, Hongrois
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Danois, Français, Hongrois, Norvégien, Suédois, Tchèque, Finnois
  • Langue ‏ : ‎ Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS 5.1), Hongrois (DTS 5.1)
  • Studio  ‏ : ‎ Universal Pictures Home Entertainment
  • ASIN ‏ : ‎ B07KBQN1T9
  • Pays d'origine ‏ : ‎ France
  • Nombre de disques ‏ : ‎ 1
  • Commentaires client :
    4,4 sur 5 étoiles 2 799 évaluations

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Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 2 avril 2019
    Vous aimez Nicolas Cage quand il craque au niveau jeu d’acteur?
    Vous aimez les trips artistiques glauques et psychédéliques ?
    Vous aimez les films violents?
    Ce film est un vrai bijou.
    Nick Cage au top de la folie (c’est quand même un « acteur » à part)
    8 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 23 mai 2023
    Parfait
  • Avis laissé en France le 2 août 2021
    un film qui se démarque par son originalité, ses couleurs, son esthétisme
    Une personne a trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 20 janvier 2021
    L'occasion de revoir Nicolas Cage dans un VRAI FILM, absolument sublime !
    2 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 22 août 2019
    Super DVD, envoie rapide et bien emballé, je recommande à tous!
    Une personne a trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 12 février 2019
    Reçu à la date prévue ! Je n’ai rien à ajouter de +
    Une personne a trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 28 septembre 2023
    2018 Nicolas Cage a enfin remis un peu d'ordre dans sa vie et n'est plus obligé de cachetonner pour des rôles dans des productions oscillant entre le nanar et le navet.
    Il peut choisir des rôles atypiques, qui l'intéresse et surtout lui permette de sortir de sa zone de confort, car que l'on aime ou pas le bonhomme c'est un acteur impliqué qui a dominé le box office mondial pendant près de 20 ans !
    Pour ce qui est de Mandy, c'est simple soit vous allez détester soit vous allez le trouver intéressant par son côté trip visuel et sensoriel.
    Nous sommes en 1983, Nicolas Cage incarne un bucheron fou amoureux de sa compagne : Mandy. En dépit d'un visage particulier et d'une vision de la vie assez... personnelle, les deux s'aiment passionnément. Le réalisateur prend son temps pour poser les choses et va énormément jouer avec les couleurs et les sons.
    La 2ème partie est axée sur la mort de Mandy, la souffrance du personnage de Cage et sa quête de vengeance.
    Le culte satanique responsable de la mort de Mandy est lié à des motards qui sont des sortes de démon. Le scénario est juste un prétexte pour le réalisateur Panos Cosmatos d'expérimenter avec un Nicolas Cage à fond dans son rôle. le sous texte religieux est présent et les références au cinéma d'horreur sont nombreuses.
    Le reproche que je fais à Mandy est sur certaines scènes trop longues à mon goût et le propos de Cosmatos : est-ce une réelle vision artisitique ou un ego trip sous acide ?
    Il n'empêche que cette réalisation est assez unique en son genre et permet à son acteur principal de déployer son talent dans des projets indépendants.
    Si vous êtes dans une humeur à tester quelque chose qui sort totalement de l'ordinaire, vous pouvez essayer cette expérience unique sinon passez votre chemin.
    Une personne a trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 8 juillet 2019
    J'ai eu le plaisir de voir ce film dans une salle dédiée sur grand écran, avec du matériel de qualité. Le film "Mandy" est un véritable navet sur tous les plans.
    La qualité du Bluray est juste catastrophique. Des grains sur tous les plans et comme le film se passe uniquement ( oui je dis bien uniquement ) dans l'obscurité, le grain est visible. Niveau qualité transfert, un gros "zéro".
    Parlons à présent du film. Nicolas Cage est tombé bien bas pour accepter le scénario d'un tel navet. Tout est incohérent, à la limite on en rigole, tellement c'est nul, mou, et sans aucun sens.
    Probablement le film le plus mauvais que j'ai vu de ma vie, et pourtant, j'en ai vu un sacré nombre.
    6 personnes ont trouvé cela utile
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Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

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  • Darth Caffeine
    5,0 sur 5 étoiles Trippy
    Avis laissé aux États-Unis le 18 juin 2025
    Trippy visuals, violence and Nicholas Cage! How could things be better?

    Great movie
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  • Darkalo
    5,0 sur 5 étoiles Edición limitada Reino Unido (Dazzler)
    Avis laissé en Espagne le 12 mai 2024
    La foto de referencia de Amazon no se corresponde correctamente al de esta edición limitada del Reino Unido editada por Dazzler en 2017.

    Está edición limitada incluye caja rígida exterior de cartón, libreto de 40 páginas y poster a una sola cara.

    Audio: inglés 2.0 PCM y 5.1 DTS-HD
    Opción de subtítulos inglés

    Extras:
    - Detrás de las cámaras: 22:02 min
    - Escenas extendidas y eliminadas: 13:54 min
    - One shots: 03:46 min
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    Darkalo
    5,0 sur 5 étoiles
    Edición limitada Reino Unido (Dazzler)

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  • Dave d.
    5,0 sur 5 étoiles Amazing Film
    Avis laissé au Canada le 26 janvier 2025
    Not for the faint of heart but still a breathtaking movie.
  • Michael Jones
    1,0 sur 5 étoiles Region A
    Avis laissé en Suède le 29 janvier 2021
    Region A blu-ray. Skulle varit bra att veta innan jag beställde.
  • Benjamin Dietze
    5,0 sur 5 étoiles Keine Action, dafür psychedelisch-hypnotische Arthouse-Nostalgie pur!
    Avis laissé en Allemagne le 26 décembre 2018
    Panos Cosmatos ist zurück! Der ungekrönte König der ultimativen Hommage an die psychedelisch-verstörenden Sci-Fi und Horror-Kultfilme der 70er und frühen 80er, dessen Stil seit 2009 (als offenbar schon ein Rohschnitt seines endgültig 2010 veröffentlichten Debüts: "Beyond the Black Rainbow" vorlag) schon so unterschiedliche Regisseure wie u. a. Winding Refn (seit: "Walhalla Rising"), Jonathan Glazer ("Under the skin"), die dritte Staffel von David Lynch': "Twin Peaks" oder William Eubank ("The Signal") wiederholt deutlich beeinflußt hat.

    Aber wie schon bei BtBR muß bei: "Mandy" noch stärker davor gewarnt werden, daß einen der Trailer völlig irreführt und vielzuviel Action, Geschwdindigkeit oder gar Splatter erwarten läßt: Wo der Trailer zu: "Mandy" einen sowas wie Rammstein oder Slipknot erwarten läßt, bekommt man beim richtigen Film stattdessen: "Lucy in the Sky with Diamonds" von den Beatles oder: "Good Vibrations" von den Beach Boys (wo jede einzelne Einstellung ästhetisch so überwältigend schön gestaltet und eingefangen ist, daß sie als klassisches Gemälde gerahmt in einem Museum an der Wand hängen könnte), und entsprechend beginnt: "Mandy" auch mit dem frühen Progrock von King Crimson auf der Tonspur.

    Wie schon BtBR stellt auch: "Mandy" wieder eher die psychedelisch-hypnotische, oft majestätische, tarkowskyartige Entdeckung der Langsamkeit dar, doch liegt die Betonung des psychedelisch-nostalgischen Stilmix' der 70er und frühen 80er, der Cosmatos' Markenzeichen ist, diesmal nicht primär auf Kubrick und Tarkowsky, sondern eher auf Dario Argento (u. a. "Suspiria") und Alejandro Jodorowsky ("Montana Sacra", "El Topo"), mit jeweils einem kleineren Schuß von Bergmans: "Persona" und Clive Barkers: "Hellraiser". Und wie schon bei BtBR sucht man hier besonders beim erstenmal Kucken vergebens nach einer rein oberflächlich stark ausgefeilten Handlung, Dialoge oder Logik (was Cosmatos sich als Stilmittel schon bei BtBR vor allem von Argento und in puncto Langsamkeit, Verstörung und Dialogmangel vor allem von Kubrick und Tarkowsky abgekuckt hat), sondern es geht, typisch für Cosmatos, eben wieder um die hypnotische Überwältigung des Zuschauers durch überwältigende, psychedelisch-verstörend-nostalgische Bild- und Klangwelten, die wie ein echter, verschollener Kultfilm dieser bestimmten, untergeganenen Ära und dieses ganz bestimmten Genres wirken, und die als sinnliches Gesamtkunstwerk schon allein ästhetisch und handwerklich von der ersten bis zur letzten Minute in Flow, Timing, emotionalen bzw. stilistischen Übergängen und rein emotionaler Stimmung perfekt durchkomponiert sind.

    Genau wie bei: "Buckaro Banzai" (und, etwas verunglückt bzw. unvollkommen umgesetzt, in: "Zardoz"), einem weiteren wichtigen Einfluß auf Cosmatos' Stil, bekommen wir rein handlungs- und inhaltsmäßig nur einen winzigkleinen Blick durchs Schlüsselloch auf eine auch vom weltbauerischen Hintergrund her perfekt durckomponiert wirkende Welt, die außerhalb des Bildes deutlich lebendig ist, die lebt und atmet, obwohl wir nur so einen winzigkleinen Ausschnitt davon auf verbal-logischer Ebene gezeigt bekommen. Denn Cosmatos erzählt grundsätzlich nicht verbal oder mit einer logischen Handlung, sondern in und mit Bildern und Stimmungen, und wirkt dabei, wenn man die logische linke Gehirnhälfte abschalten und sich auf Erfahrungen primär ästhetisch vermittelter Sinnhaftigkeit wie bei einem LSD-Trip, einer Symphonie oder einer Oper einlassen kann, wesentlich runder, durchkomponierter und substantieller als nur handwerklich etwas aufgehübschte, inhaltlich aber tatsächlich hohle Seifenblasen wie u. a.: "The Fall", "The Fountain" und: "Cloud Atlas", die ihren faktischen Ideenmangel hinter ein paar handwerklichen, teils bombastischen Schauwerten zu verstecken versuchen, die eben nichtmal auf visueller und stimmungstechnischer Ebene wirklich etwas erzählen können.

    Und wie bei den Rutles ("All you need is cash") von Eric Idle und Neil Innes kommt es bei Cosmatos wieder darauf an, ob man sämtliche seiner Vorbilder an diversen Kultfilmen aus den 70ern und frühen 80ern kennt und mag, auf die Bezug genommen wird; dann macht alles sehr viel mehr Spaß. Aber anders als die Rutles besitzt Cosmtaos eine besonderere Gabe, die von Musikwissenschaftlern bei Johann Sebastian Bach als sog.: "konstruktiver Rückgriff" bezeichnet wird, denn als der Barockkomponist auf volkstümliche mittelalterliche Kirchenlieder und Gebete zurückgriff, hat er diese überhaupt erst der Nachwelt überliefert, da er die Originale in seiner wesentlich ausgefeilteren Aus- und Durcharbeitung noch deutlich übertroffen hat, so daß wir ohne ihn heute kaum noch etwas von den Originalen wüßten. So ähnlich ist es auch mit Cosmatos und seinen nostalgisch aufgegriffenen Kultfilmen der 70er und frühen 80er: Er treibt das, was in ihnem Kern angelegt ist, auf die Spitze, und übertrifft sie so sogar ncoh bei weitem. Wo seine Vorbilder in ihrer jeweiligen Eigenart meist nur rund 60-80% ihres Potentials erreicht haben (im Falle der frühen Studentenfilme von Cronenberg oder: "Zardoz" sogar nur etwa 10-30%), holt Panos durch seine Fähigkeit zur perfektionierenden Höherentwicklung die vollen 100% raus, die in den Originalen unentwickelt angelegt waren, gleicht dabei alle durch eventuelle Inkompatibilität untereinander möglichen Stilbrüche mit geradezu perfektem musikalischen Gehör aus, und wo ich bis zu Cosmatos' Vorgängerfilm BtBR garnicht gewußt habe, wie 100% des jeweiligen Stils überhaupt aussehen.

    Der einzige, der vor Cosmatos so perfekt 100% aus einer Idee und einem Stil rausgeholt hat, war Kubrick, der sich daher als einziger als Cosmatos' Gleicher bezeichnen darf, und ich wage sogar die Prognose, daß so, wie wir ohne Bach nichts von seinen durch ihn überlieferten Vorgängern wüßten, wir auch in fünfzig oder hundert Jahren, wenn wir dann überhaupt noch etwas von Carpenter, Cronenberg, Nicolas Roeg, Argento, Jodorowsky, Trumbull oder Ken Russell, "THX 1138", "Erasherhead", eventuell sogar Tarkowsky wissen, dann nur als Cosmatos' noch unvollständige Vorgänger, die nötig waren, um ihn hervorzubringen. Und das, obwohl auch das, was sie zu ihrer Zeit geschaffen haben, schon zum Besten zählt, was jemals auf Zelluloid gebannt wurde.

    Das alles an Vorgesagtem, was man beim Herangehen an seine Werke wissen muß, um nichts falsches zu erwarten, charakterisiert Cosmatos' Filme beim erstenmal Sehen und das ist es, was ihren primären Reiz ausmacht. Aber ebenso, wie einem die beim erstenmal noch rudimentär bis überhaupt nicht vorhanden vorkommende Handlung sich besonders im Laufe des zweiten und dritten Durchgangs überhaupt erst in ihren Details und wahren Tiefen erschließt, wenn man nämlich begriffen oder besser entschlüsselt hat, wie Cosmatos seine Filme und diesen jeweiligen überhaupt erzählt, erschließen sich beim mehrmaligen Sehen auch die eigentlcihen Themen und Motive seiner Filme jenseits der rein oberflächlichen Handlung, bei denen es sich, wie man u. a bei Hauke Lehmann ("Rausch als filmisches Denkmodell - Zur Analogie von Film und Bewußtsein"), THE HOLLYWOOD REPORTER und diversen Kommentaren mit Cosmatos selbst nachlesen kann, auf dieser tieferen Ebene um komplexe Kommentare zur sozialpolitischen und sozialkulturellen Entwicklung in den westlichen Industriestaaten seit 1945 handelt. Wie Lehmann schreibt, handelt es sich bei Cosmatos' Filmen um eine noch radikalisierte Version von: "Fear and Loathing in Las Vegas", d. h. bei Cosmatos um einen Chronisten des Scheiterns der durch das Öffnen der Pforten der Wahrnehmung möglichgewordenen, sozialen und politischen Utopien der 60er (wobei er besonders den verhängnisvollen Hang der 68er zur Esoterik anprangert) und den oft noch wesentlich schlimmeren, darauf reagierenden Gegenschlag von Rechts in Form des reaktionären Backlash seit den 80ern unter Reagan, Thatcher, Kohl. Während Barry Nyles schwelende Psychopathologie in BtBR gerade aufgrund einer aggressiv-paranoiden Reaganrede endgültig durchbricht, die er im Fernsehen sieht, wirkt Red Miller (so der HOLLYWOOD REPORTER) nicht zufällig genervt, als er am Anfang von: "Mandy" den reaktionären Schwall des Radiomoderators abdreht, als dieser anhebt, in Reaganmanier gegen: "Abtreibung und Pornographie" zu wettern. Aufgrund des von ihm thematisierten Scheiterns der 68er sind Cosmatos' Filme grundsätzlich dem Genre der Horrordystopie zuzuordnen.

    Gleichzeitig, so Lehmann, bleibt Cosmatos durch sein sturstes Beharren auf und Weiterentwicklung der emanzipativen Tradition der psychedelischen Ästhetik (die dadurch, daß u. a. Menschen so unscharf gefilmt werden, daß sie zu abstrakten Kubnstwerken werden, semiotisch darauf verweist, daß die menschliche Gesellschaft ihre daher letztlich offene, nicht schicksalshaft im Sinne reaktionär präformierender objektiver Sachzwänge festgelegte Geschichte selbst macht) und damit der Ideen, Werte und Ziele der Linken und der 60er letztlich treu und stellt sich bei aller Kritik an den 68ern doch auf ihre Seite; sie hätten es, so Lehmann über Cosmatos' grundsätzliche Aussage, bei ihrem ersten Anlauf einfach nur methodisch falsch, da zu naiv angefangen, da sie die Realität, die hinter den geöffneten Pforten der Wahrnehmung liegt, noch nicht rational genug erfaßt haben, woraus das Scheitern der 68er entstanden ist, das wiederum den reaktionären Backlash von Rechts seit den 80ern ermöglicht hat. Wer mit der zu erringenden Mother Lode (der Chance auf den Hauptgewinn in Form der fortschrittlichen sozialen und politischen Emanzipation) nicht richtig umgeht, droht, sich so den Kopf zu sprengen wie Barry Nyle bei seinem Horrortrip in BtBR oder so permanent wahnsinnig zu werden wie Red am Ende von: "Mandy", denn jenseits der Pforten der Wahrnehmung, hinter dem Schwarzen Regenbogen lauern enorme Kräfte und Gewalten in der dort zu erschließenden Realität; seitdem wir zu ihnen durchgebrochen sind, gibt es kein Zurück mehr, geht der Geist nicht mehr in die Flasche zurück, was laut Lehmann der Grund dafür ist, daß Cosmatos das gleichzeitig eine deutliche Warnung, wie auch ein Versprechen beinhaltende: "Buckaroo Banzai"-Zitat: "Wo man hingeht, da ist man" ans Ende von BtBR gestellt hat.

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