L'ete n'est pas termine

VALSE DES PANTINS, LA - BD [Blu-ray]

4,7 sur 5 étoiles 70 évaluations
IMDb7.8/10.0

Autres formats Blu-ray Édition Disques
Prix Amazon
Neuf à partir de Occasion à partir de
Blu-ray
14 mai 2014
1
133,33 € 159,99 €
Genre Comédie
Format Couleur
Contributeur Shelley Hack, Tony Randall, Robert De Niro, Sandra Bernhard, Martin Scorsese, Jerry Lewis, Diahnne Abbott, Lou Brown, Ed Herlihy Voir plus
Langue Français, Anglais
Durée d’exécution 1 heure et 49 minutes
Couleur Couleur
Nombre de disques 1
Fabricant Carlotta Films

Description du produit

Restauration 4K

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 1.85:1
  • Production interrompue par le fabricant ‏ : ‎ Non
  • Classé ‏ : ‎ Tous publics
  • Dimensions du colis ‏ : ‎ 17,2 x 13,8 x 1,2 cm; 100 grammes
  • Réalisateur ‏ : ‎ Martin Scorsese
  • Format ‏ : ‎ Couleur
  • Durée ‏ : ‎ 1 heure et 49 minutes
  • Date de sortie ‏ : ‎ 14 mai 2014
  • Acteurs ‏ : ‎ Robert De Niro, Jerry Lewis, Tony Randall, Diahnne Abbott, Sandra Bernhard
  • Doublé : ‏ : ‎ Anglais, Français
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Français
  • Studio  ‏ : ‎ Carlotta Films
  • ASIN ‏ : ‎ B00I5X37M2
  • Nombre de disques ‏ : ‎ 1
  • Commentaires client :
    4,7 sur 5 étoiles 70 évaluations

Commentaires client

4,7 étoiles sur 5
70 évaluations globales

Évaluer ce produit

Partagez votre opinion avec les autres clients

Témoignages de clients

Les clients trouvent le film intéressant, avec des bonus très sympas à visionner. Ils le décrivent comme un très grand film à voir absolument, avec une comédie de grande qualité avec un Robert De Niro excellent. Ils apprécient également la qualité du film et le qualifient de bon.

Sélectionner pour en savoir plus

4 mention des clients "Intéressant"4 positifs0 négatifs

Les clients trouvent le film intéressant. Ils mentionnent que les bonus sont instructifs et que c'est un très grand film à voir absolument. De plus, ils soulignent que le film permet de traverser toute la palette d'émotions grâce aux jeux d'acteurs.

"...que la précédente et on peut se régaler avec les bonus qui sont fort intéressants et instructifs." Développer

"...Dans ce film, vous rirez, vous pleurerez, et traverserez toute la palette d'émotion, grâce à des jeux d'acteurs très fins, une réalisation bien..." Développer

"...Rien à dire. Un très grand film à voir absolument dans une édition double disque qui ajoute bon nombre de suppléments intéressants." Développer

"...Très grand plaisir, et d'une rare pertinence au niveau scénaristique......." Développer

4 mention des clients "Qualité du film"4 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité du film. Ils le décrivent comme une comédie de grande qualité avec un Robert De Niro agréable.

"Excellentissime film, souvent un peu oublié dans la filmo de Scorcese alors qu'il est l'un de ses meilleurs... On est plus proche de Taxi Driver et..." Développer

"Bon film, où l'on voit un Jerry Lewis serieux, dans un autre registre et où il joue vraiment bien. Après voilà De Niro aussi est excellent !" Développer

"Pour moi une comédie de grande qualité......." Développer

"Robert de Niro dans un film agréable, avec un fan gonflé... qui veut devenir une star de la télé. Agréable film qui a un peu vieillit...." Développer

3 mention des clients "Bonus"3 positifs0 négatifs

Les clients apprécient les bonus du produit. Ils les trouvent sympas à visionner et intéressants. De plus, l'édition double disque ajoute un bon nombre de suppléments.

"...Les bonus sont très sympas à visionner, moi qui ai tendance à les zapper ou à les trouver sans intérêt...." Développer

"...voir absolument dans une édition double disque qui ajoute bon nombre de suppléments intéressants." Développer

"...Quant à Jerry Lewis il est extraordinaire. A voir absolument!" Développer

3 mention des clients "Qualité"3 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité du produit. Ils mentionnent que De Niro est excellent et que la qualité du Blu-ray est tout à fait correcte.

"...Agréable film qui a un peu vieillit. Qualité bluray tout à fait correcte." Développer

"De Niro excellent...." Développer

"Très très bon !!!..." Développer

Comédie de Scorsese peu séduisante.
4 étoile(s) sur 5
Comédie de Scorsese peu séduisante.
3 ans après Raging Bull, Martin Scorsese nous ramène un Robert De Niro une fois de plus très différent de d'habitude, loin des rings de boxe, loin des mafieux, mais très proche de la folie. Le fanatisme poussé à l’extrême, The King of Comedy titre français (La Valse des Pantins) est peut être le moins populaire, en tout cas parmi les plus méprisés du duo. Pourtant le film s’inscrit avec le recul parfaitement dans l’œuvre de Scorsese et constitue un film étonnement prophétique. Rupert Pupkin (De Niro) n’a qu’un rêve : devenir un grand comique. Un soir, à la sortie d’un enregistrement du talk-show de la vedette, l’animateur Jerry Langford (Jerry Lewis), il parvient à l’accompagner (contre son gré) dans sa limousine. Persuadé que c’est le signe du début de sa grande carrière, Rupert n’aura de cesse de harceler Jerry pour être invité dans son show… King of Comedy suit directement Raging Bull dans la filmographie du tandem Scorsese / De Niro, projet apporté par ce dernier qui mit du temps à convaincre Scorsese de le réaliser, celui-ci ayant du mal à le rattacher à sa propre expérience. Le film est un peu considéré comme le canard boiteux de leur collaboration pour plusieurs raisons, d’abord son échec commercial cuisant, l’ombre de Raging Bull, la difficulté de le placer dans un genre défini (ni comédie ni drame) et la surprise de voir De Niro pour la première fois loin de ses rôles sombres de « tough guys ». King of Comedy est un film qui est arrivé trop tôt ou trop tard. Trop tard car si il date du début des années 80 il est bien le dernier vestige du cinéma de cette parenthèse enchantée du cinéma des années 70 qu’enterrera l’échec en 1980 de La Porte du Paradis de Cimino. Trop tôt car il anticipe (même si le meurtre de John Lennon par Mark Chapman et l’attentat contre Reagan par un fan de Jodie Foster sont encore frais quand le film sort) le phénomène qu’on appelle aujourd’hui le « fan entitlement » la notion qu’ont certains admirateurs fanatiques que leur vedette préférée leur « doivent » quelque chose, sentiment qui pousse les plus fragiles qui se sentent rejetés dans les pires extrémités. Mais il est aussi visionnaire de ce besoin de reconnaissance et de réussite à travers la célébrité pour la célébrité qui a pris des proportions inimaginables à notre époque de télé-réalité triomphante. La France n’a pas donné bon accueil au film en partie car ils e déroulait dans le monde des talk-show et des comiques stand-up, totalement inconnu sur nos cotes à l’époque. Pourtant le recul nous fait découvrir une œuvre tout à fait cohérente dans la filmographie de Scorsese qui constitue même le complément idéal à son Taxi Driver tant Rupert Pupkin et Travis Bickle semblent être les deux facettes d’une même névrose. Pourtant le film qui n’était pas destiné initialement à Martin Scorsese. Après que ce dernier l’a gentiment éconduit au début des années 70, le scénariste Paul Zimmerman a confié son manuscrit au producteur Robert Evans, qui en a proposé la réalisation à Milos Forman. Faute de financement, le projet atterrit en bas de la pile jusqu’à ce qu’il réapparaisse entre les mains de Robert de Niro. Fort d’une collaboration de plus en plus étroite et de plus en plus fructueuse, l’acteur a réussi à convaincre le cinéaste de reprendre ce scénario, et le film voit enfin le jour en 1983. Il faut dire sur que la quinzaine d’années qui s’est écoulée, la propre vie du cinéaste est venue faire écho de manière plus aigüe à ce thème de la célébrité. Si La Valse des pantins détonne au regard de cette tendance, c’est peut-être paradoxalement le résultat d’une autre expression du maniérisme de Scorsese qui, pour cette comédie tournant autour de l’influence de la télévision, souhaitait adopter un style plus proche de la « platitude » de l’image du petit écran. Il économise ici les effets de montage dont il est par ailleurs friand, s’attache à rendre sa caméra moins surplombante en cadrant plus à hauteur d’homme que d’ordinaire. Non qu’il tâche de refréner son plaisir de filmer en effaçant sa mise en scène, mais la présence de celle-ci, de sa technique, est moins écrasante, moins autoritaire qu’ailleurs : il ne laisse pas son goût des manipulations de filmeur voiler la lucidité de son regard, sa façon de capter le versant à la fois comique et dérangeant des scènes s’étirant parfois en longueur et des comédiens qui les habitent. Ainsi laisse-il la matière qu’il travaille libérer sa spécificité à travers son œil de cinéaste, formuler une vision du monde sans besoin d’être martelée, voire s’emballer un peu et prendre des directions surprenantes, à l’image de l’emballement qui se fait le sujet de La Valse des pantins : l’occupation du réel par le spectacle qu’il engendre et vend lui-même. Le film est censé être une comédie, et pourtant la manière dont Rupert s’enfonce dans ce monde imaginaire fait froid dans le dos. La terreur qui se lit sur le visage des domestiques lors de son intrusion « amicale » est pire que s’ils avaient été menacés par une arme dangereuse (alors même que Rupert esquisse des pas de danse joyeux avec sa fiancée Rita, Diannhe Abbott, l’épouse de de Niro à l’époque ignorante de la forfaiture). La manière dont il répète ses numéros au sous-sol de la maison de sa mère chez qui il habite encore à 34 ans, entre Liza Minelli et Jerry Langford/Lewis, tous deux en carton-pâte, et plus encore celle dont il met en scène des tonnes d’applaudissements adressés à lui, cette manière n’est finalement pas très différente des agissements de tous les autres héros malades de Scorsese, que ce soit Jake la Motta et ses tendances autodestructrices (Raging Bull), le désaxé Travis Bickle (Taxi Driver), l’aliéné de Shutter Island ou le Loup sauvage de Wall Street. Rupert est pathétique, agaçant, attachant, on ne sait plus s’il délire ou s’il manipule son entourage, et Robert de Niro aurait bien pu décrocher un autre Oscar pour le rôle, tant sa composition est riche et inspirée. La Valse des Pantins n’est donc pas une comédie, si ce n’est une comédie noire et grinçante, et le personnage de Masha vient encore étoffer une vision bien sombre de la société avide de reconnaissance. Masha est une autre fan obsessionnelle de Jerry, interprétée par une Sandra Bernhard quasi débutante mais comme habitée par la folie du personnage. Avec Rupert, ils vont organiser pour des motifs visiblement différents, le kidnapping de Jerry. Le cas de Masha est au moins aussi intéressant que celui de Rupert : les yeux exorbités, la mise débraillée, là voilà soudain belle, apaisée et émouvante dans son tour de chant quand l’objet de ses fantasmes se retrouve au bout de son arme, impuissant, tout d’un coup devenu insignifiant puisqu’accessible…Quant au personnage de Jerry, hautain, condescendant, l’antipathie qu’on peut éprouver pour lui s’estompe quand on suit le personnage en dehors de la lucarne magique de la télévision : comme tous les autres personnages, hors du cadre, il n’est plus rien, rien qu’une tristesse de plus, une quasi-victime de la célébrité que l’opulence du mode de vie ne parvient pas à protéger de la solitude, bien au contraire. Jerry Lewis apporte à son jeu une sobriété juste et inhabituelle qui sied au rôle et au film. Quarante ans après sa sortie, La Valse des pantins se révèle comme prémonitoire de ce qu'est devenu aujourd'hui le rapport à la célébrité, banalisé par la multiplication des reality shows et l'influence insidieuse de la toile sur la mutation des rapports sociaux vers une confusion névrotique entre un anonymat déculpabilisant et l'accès facile à une notoriété éphémère. La prophétie d'Andy Warhol concernant le « quart d'heure de célébrité » auquel chacun d'entre nous peut prétendre, se vérifie tous les jours un peu plus, faisant grimper sans fin la surenchère médiatique qui tourne souvent à l'absurde. Selon ce précepte et avec le recul, la question que l'on peut se poser est la suivante : Rupert Pupkin, quand il kidnappe Jerry Langford, célèbre showman (Jerry Lewis), souffre-t-il d'un syndrome névrotique mégalomaniaque ou, plus cyniquement, n'est-il qu'un froid calculateur en avance sur son temps ? À y regarder de plus près, Pupkin, dont le calme et la détermination sont à toute épreuve, semble avoir patiemment calculé son affaire, manipulant sa collègue groupie fortunée (Sandra Bernhard, génialement hystérique) et aussi Jerry, comique à l'ancienne qui n'a visiblement pas intégré le rapport au public qui se modifie à grande vitesse dans les années 80. LA VALSE DES PANTINS est aussi rentré dans l’inconscient collectif, à défaut d’obtenir une véritable reconnaissance publique. On perçoit ainsi son influence dans de nombreuses œuvres comico-réalistes abordant la question du sens de l’humour, et de sa représentation… De Louie à Funny People, en passant par les Coen. Car si la Valse des Pantins met en scène des humoristes, il n’est pas un film « drôle ». L’humour se trouve dans la définition qu’ont les personnages de ce mot, et de la façon dont il le communiquent aux autres. Il vient également de la confrontation entre le rationnel et l’irrationnel, dans les extrémités qu’atteindront les personnages confrontés à la folie: King of Comedy évolue ainsi entre le dérangeant (on parle quand même d’un kidnapping réalisé uniquement pour passer à la télé et le franchement caustique ! En cause, cette absurdité réaliste des situations, appuyées par une vraie dimension psychologique. Une oeuvre certes mineure dans la filmographie de Scorsese, mais une thématique obsédante.
Merci pour vos commentaires
Malheureusement, une erreur s'est produite
Désolé, nous n'avons pas pu charger le commentaire

Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 21 mai 2016
    Excellentissime film, souvent un peu oublié dans la filmo de Scorcese alors qu'il est l'un de ses meilleurs... On est plus proche de Taxi Driver et de son personnage obsédé qu'on pourrait le penser : mais le traitement est radicalement différent et nous donne une belle critique de notre société-spectacle, de ce qu'elle engendre et de ce qui la nourrit. L'édition Carlotta est bien meilleure que la précédente et on peut se régaler avec les bonus qui sont fort intéressants et instructifs.
    4 personnes ont trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 25 mars 2020
    Du Martin Scorsese avec Robert de Niro : du très bon ! Selon moi, il s'agit d'un des rares réalisateurs qui traverse les décennies sans se perdre et sans tomber dans l'uniformisation des films.
    La valse des pantins raconte l'histoire d'un homme ordinaire qui veut absolument réussir dans le rire, via le one man show... Je n'en dis pas plus.
    Dans ce film, vous rirez, vous pleurerez, et traverserez toute la palette d'émotion, grâce à des jeux d'acteurs très fins, une réalisation bien sentie et un rythme bien dosé.
    Les bonus sont très sympas à visionner, moi qui ai tendance à les zapper ou à les trouver sans intérêt.
    Je vous conseille ce film, avec Taxi Driver, tant qu'on y est !
    2 personnes ont trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 7 juillet 2014
    Voici un film assez méconnu dans l'œuvre de Scorcese, et c'est bien dommage.... Robert DeNiro est génialissime dans ce rôle d'apprenti comique médiocre qui tente de convaincre une star de lui donner sa chance. Star campé par un Jerry Lewis parfait en présentateur télé comique à la limite de la misanthropie. L'image est correcte mais accuse le poids des années, elle semble limité par rapport à d'autre films de Martin Scorcese. Mais cela reste de bon niveau.
    2 personnes ont trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 25 février 2020
    Bon film, où l'on voit un Jerry Lewis serieux, dans un autre registre et où il joue vraiment bien.
    Après voilà De Niro aussi est excellent !
  • Avis laissé en France le 6 décembre 2020
    Je ne parlerais pas du film qui est un énième chef d'œuvre du duo Scorsese-DeNiro mais de la livraison, dans les temps, en parfait état. Rien à dire.
    Un très grand film à voir absolument dans une édition double disque qui ajoute bon nombre de suppléments intéressants.
  • Avis laissé en France le 28 mai 2014
    Pour moi une comédie de grande qualité....
    En blu-ray la qualité de l'image est à la hauteur de l'attente (sauf pour ce qui a été tournée pour des images vidéo volontairement dégradées... mais là rien à y faire).

    Très grand plaisir, et d'une rare pertinence au niveau scénaristique....
    Moi j'ai adoré... et une fois de plus, chapeau bas à Carlotta notamment pour les bonus.
    4 personnes ont trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 22 janvier 2016
    Tout simplement le meilleur film de Scorsese avec Taxi Driver, qui est assez similaire dans le fond, même si assez loin en apparence. Dans ce dernier la folie mène à la
    rédemption et dans "la valse..." elle est une damnation. C'est assez sombre d'ailleurs (encore une fois, pas en apparence).
    Une personne a trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 17 mars 2014
    parfait,
    quel duo,on ne s 'en lassera jamais de Jerry Lewis.
    je vous le recommande,n'hésitez pas.
    à regarder encore et encore
    6 personnes ont trouvé cela utile
    Signaler

Ressources sur la sécurité et les produits