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Casino [Blu-Ray]

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Genre Drame
Format Blu-ray
Contributeur Robert De Niro, Martin Scorsese, Joe Pesci, Sharon Stone
Langue Français, Anglais
Durée d’exécution 3 heures
Nombre de disques 1
Fabricant Seven7 - Studio TF1 Cinéma

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Description du produit

Casino, 1 Blu-ray, 180 minutes

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 2.35:1
  • Production interrompue par le fabricant ‏ : ‎ Non
  • Classé ‏ : ‎ 12 ans et plus
  • Dimensions du colis ‏ : ‎ 17 x 13,4 x 1 cm; 80 grammes
  • Réalisateur ‏ : ‎ Martin Scorsese
  • Format ‏ : ‎ Blu-ray
  • Durée ‏ : ‎ 3 heures
  • Date de sortie ‏ : ‎ 29 octobre 2008
  • Acteurs ‏ : ‎ Robert De Niro, Sharon Stone, Joe Pesci
  • Doublé : ‏ : ‎ Français, Anglais
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Français
  • Langue ‏ : ‎ Anglais (Audio DTS-HD High Resolution), Français (DTS-HD 5.1)
  • Studio  ‏ : ‎ Seven7 - Studio TF1 Cinéma
  • ASIN ‏ : ‎ B001CRVXVU
  • Pays d'origine ‏ : ‎ France
  • Nombre de disques ‏ : ‎ 1
  • Commentaires client :
    4,7 sur 5 étoiles 3 600 évaluations

Commentaires client

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Témoignages de clients

Les clients sont satisfaits de la qualité du film. Ils le décrivent comme magistral, grandiose et un grand classique de Scorsese. Les clients apprécient la superbe remasterisation 4K, la qualité visuelle impeccable et les séquences d'une élégance virtuose. Ils mentionnent que le film est très bien joué, avec un casting exceptionnel. Les clients soulignent également la qualité audio impeccable, avec une bande son de haute volée. Le film reprend bien la figure du gangster et la musique est bien.

31 mention des clients "Qualité du film"31 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité du film. Ils le décrivent comme magistral, de légende et un grand classique de Scorsese. Ils soulignent la très bonne remasterisation et la belle histoire. Les acteurs sont excellents.

"Super film..." Développer

"Grand film, casting exceptionnel, superbe master 4K, bande son de haute volée et tarif très correct" Développer

"Réalisé par Martin Scorsese en 1995. Un film magistral. Pour une version 4K superbe qui lui rend hommage comme il se doit...." Développer

"bon film livraison ok les DVDs fonctionnent pas de problème" Développer

20 mention des clients "Qualité d'image"14 positifs6 négatifs

Les clients apprécient la qualité d'image du produit. Ils mentionnent que le Blu-ray 4K est de grande qualité, avec une superbe master 4K. De plus, ils disent que la qualité des 3 DVD est parfaite et impressionnante.

"Réalisé par Martin Scorsese en 1995. Un film magistral. Pour une version 4K superbe qui lui rend hommage comme il se doit...." Développer

"Blu ray 4k de grande qualité...." Développer

"...Après niveau qualité image et son c'est vraiment moyen et encore je suis gentil, très sincèrement le Blu-Ray mériterait une restauration digne de ce..." Développer

"À film exceptionnel, édition 4K exceptionnelle...." Développer

12 mention des clients "Qualité"12 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité du film. Ils le décrivent comme magistral, impeccable et correct. Les acteurs sont très bien joués, notamment Sharon Stone qui interprète son rôle d'une façon magistrale. Le passage en Blu-ray est réussi et affine l'image sans dénaturer le grain.

"...film « Les Affranchis », les séquences sont d'une élégance virtuose, magistrale, à la fois visuellement époustouflante et narrativement captivante :..." Développer

"...Tout est sublime, tant le scénario que la mise en scène ou les acteurs...." Développer

"bonne version française, ! bon film avec de très bons acteurs, sur la mafia, Vegas, et le jeu ! Pour vous dégouter de jouer !!!" Développer

"...univers du film nous transporte dans la grande ville lumière...tout est impeccable !..." Développer

8 mention des clients "Qualité visuelle"8 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité visuelle du film. Ils mentionnent que l'image est magnifique, très belle et les séquences sont d'une élégance virtuose. De plus, ils trouvent le film captivant, divertissant et bien filmé.

"...codes de son précédent film « Les Affranchis », les séquences sont d'une élégance virtuose, magistrale, à la fois visuellement époustouflante et..." Développer

"...Joe Pesci est bien badass, Sharon Stone sublime, au rôle un peu secondaire au début de l'histoire prend de plus en plus de l'importance au fur et à..." Développer

"Quel plaisir de revoir ce film dans une telle qualité visuelle. Ce 4k est vraiment de très bonne qualité." Développer

"Beau coffret ! Le film est un chef d'oeuvre !..." Développer

5 mention des clients "Qualité audio"5 positifs0 négatifs

Les clients apprécient la qualité audio du produit. Ils mentionnent que le son et les images sont impeccables. De plus, ils trouvent que la musique est bien.

"...Le Blu-Ray est également très bon, l'image et le son DTS-HD font des merveilles." Développer

"Grand film, casting exceptionnel, superbe master 4K, bande son de haute volée et tarif très correct" Développer

"...qu' a une suite de suite scenes gratuitement sanglantes.son et images impeccables ne rattrapent le jeux des acteurs sur une intrigue bien mince." Développer

"La musique est bien, l’histoire quelconque." Développer

Le plus grand film de gangster avec Le Parrain, Scarface, L'Impasse et les Affranchis
5 étoile(s) sur 5
Le plus grand film de gangster avec Le Parrain, Scarface, L'Impasse et les Affranchis
Réalisé par Martin Scorsese en 1995. Un film magistral. Pour une version 4K superbe qui lui rend hommage comme il se doit. Apres les succès de Raging Bull et du cultissime Affranchis, Scorsese réuni de nouveau le Tandem De Niro/Pesci dans un film intitulé Casino. Il n'est pas simplement un film de gangster, c'est LE film de gangster par excellence. Servi par des acteurs exceptionnels (De Niro nous livre ici sa dernière bonne prestation et Joe Pesci montre qu'il peut être terriblement impressionnant en petit teigneux déjanté), Sharon Stone dans toute sa splendeur amoureuse et instable à la fois m'a séduit, ce n'est pas la provocante sexy et torride de Basic Instinct, Mais elle assure et nous offre tout son talent d'actrice. Scorsese s'inspire de l'ouvrage Casino : amour et honneur à Las Vegas de Nicholas Pileggi (scénariste également de Goodfellas), qui a cosigné le scénario avec le réalisateur. Alors que la musique de «La Passion selon saint Matthieu» de Bach s’élève durant le générique, l’ombre de « Ace », alias Sam Rothstein (Robert De Niro), tombe indéfiniment dans un vide enflammé, parmi les néons scintillants et multicolores des casinos de Las Vegas. L’ouverture animée par Elaine et Saul Bass est le programme du film tout entier : cette chute infernale du personnage est hypnotique, immergée dans le clignotement chatoyant des lumières de Vegas. Les personnages principaux en commençant par Sam, gérant du casino The Tangiers, Son costume vêtu de rose «à la John Barrymore» survit miraculeusement d'une explosion à la bombe en demarrant sa belle Cadillac Eldorado coupé (81) forcément calciné, Il s'en réchappe grâce au blindage qu'il a fait installer sous la voiture. Sa femme Ginger (Sharon Stone) et son ami gangster Nicky (Joe Pesci) pensent en effet vivre « au Paradis » alors que le cinéaste vient d’ouvrir son film avec des flammes infernales. La citation légendaire de Sam au début résume tout le film en entier : « J’rigole pas, j’avais tellement bien pigé le truc qu’on m’a donné le paradis sur Terre. « En un rien de temps on a mis de l'ordre, On s'est débarrassé des Arnaqueurs travaillant a leurs comptes, Les bénefs grimpaient, Les Dieux nous souriaient, Autant que les dieux peuvent sourire ? » De Niro sait aussi se montrer impitoyable comme lors de cette scène avec l'agent fédéral posant ses pieds sur la table de jeux : « Vous allez me virer ce gars de l’établissement et vous allez le virer sans que ses pieds touchent terre et en ouvrant la porte avec sa tronche.!» C’est ce vertige incroyable du monde illusoire de Vegas, du pouvoir et du luxe, où le jour et la nuit se confondent, où le droit et la loi sont suspendus (tous sont corrompus par de vieux mafieux contrôlant le casino), que la mise en scène de Scorsese cherche à faire vivre. Les trois premiers quarts d’heure du film, qui présentent les rouages complexes du casino et la circulation de pots-de-vin jusqu’au repère des caïds dans une épicerie reculée, construisent un labyrinthe vertigineux de lieux, de lumières et de mouvements. L’effet d’immersion déjà présent dans le fameux plan-séquence du restaurant des Affranchis est ici considérablement renforcé : comme l’affirme le cinéaste dans ses entretiens avec Michael Henry Wilson, le chef-opérateur Bob Richardson va encore plus loin dans Casino que Michael Ballhaus, chef-opérateur régulier de Scorsese, dans l’emploi systématique de mouvements de caméra et d’éclairages magistraux. Un foisonnement de plans-séquences aux mouvements fluides entrelace alors sans heurt, dans un même mouvement continu, le monde scintillant du casino avec l’obscure arrière-salle où se cachent les criminels qui en profitent et comptent des millions de dollars en argent liquide... Accompagné de la voix-off de Joe Pesci « Et en plus de nous blanchir, il y a le pognon. Des tonnes de pognon. Qu’est-ce que vous croyez qu’on vient foutre en plein milieu du désert ? On est là pour le fric !» L'histoire est prenante inspirée de la vie Sam « Ace » Rothstein qui diriga d'une main de fer l'hôtel-casino de Las Vegas, financé en sous-main par le puissant syndicat des camionneurs. Scorsese reprend les mêmes codes de son précédent film « Les Affranchis », les séquences sont d'une élégance virtuose, magistrale, à la fois visuellement époustouflante et narrativement captivante : (Le gâteau d'anniversaire pour détourner l'attention des clients du Casino est une leçon de mise en scène) ! Pour le passage a tabac des escrocs dans l'arrière-salle, Le système d’un effondrement tragique, suscitant l’horreur et la pitié. L’horreur a pour origine la fulgurante violence de Nicky, dont l’acharnement brutal et meurtrier surgit dans le champ sans prévenir. Les scènes sanglantes s’accélèrent et innervent de plus en plus le film au fur et à mesure de l’influence grandissante du gangster. Nicky est le sombre envers de la face rutilante de Vegas : un personnage ordurier, à la violence crue et aux sorties souvent burlesques alors que Nicky fait exploser l’œil d’un visage coincé dans un étau, celui-ci s’exclame : « Tu m’obliges à te faire gicler un œil pour protéger cette m*rde ! » La scène dans le désert filmé en Close-up sur le reflet des lunettes de Sam en voyant arriver Nicky au volant de sa Chevrolet Monte Carlo (model 1977) à fond les pneus poussiéreux est d'une esthétique sublime. Les répliques fusent : «T’attaques Nicky à coups de poings, il sort une batte de baseball. Tu l’attaques au couteau, il sort un flingue. Et si tu sors un flingue, t’as intérêt à le tuer parce qu’il va revenir à la charge jusqu’à ce qu’il y en ai un des deux qui soit mort. », « En temps normal, mes chances de revenir vivant d’un rendez-vous avec Nicky étaient de 99 sur 100. Mais quand je l’ai entendu me dire « 100 mètres plus loin sur la route, je me suis donné 50/50 ». La pitié, l'avidité, elle, vient de la fragilité émouvante de Ginger l’icône rayonnante s’effondre vite pour laisser place à une figure tourmentée, sombrant dans l’alcool et les larmes, plongée dans les tragiques clairs-obscurs d’une chambre ou d’un cabinet d’avocat. La dernière partie de Casino épouse ainsi fidèlement l’histoire vraie de Lefty Rosenthal et les déchirements de son couple, en proposant une réécriture tragique et survoltée, pleine de bruit et de fureur, du Mépris de Jean-Luc Godard, où, cette fois-ci, les non-dits sont abandonnés pour laisser libre cours à l’explosion violente du ressentiment. Scorsese en reprend d’ailleurs le thème musical, « Camille » de Georges Delerue. L’effondrement du couple est le symbole, à l’échelle humaine, de la disparition d’un temps : le glamour laisse place au sordide Ginger attache sa propre fille à un lit, hurle sans retenue devant chez elle, complètement ivre, pour récupérer « son fric » alors que l’immeuble du Tangiers s’effondre en un grand nuage de poussière, et que des hôtels méprisant le client (selon la voix off culte de De Niro), aux allures de parc d’attractions, surplombent le regard du spectateur. Derrière son épilogue tragique, Casino pointe du doigt la métamorphose d’un système qui n’est pas sans rappeler le monde hollywoodien : le remplacement d’une industrie qui recherchait avant tout le rêve et l’éblouissement par la triste tyrannie du profit. Scorsese reprend bien la figure du gangster qui, conformément aux codes du genre, incarne ici l’ubris (la démesure) de la tragédie grecque démesure du langage, des actes, de l’ambition aboutissant ici au dérèglement du monde (l’organisation entière du casino part en vrille) et à une fin funeste, particulièrement spectaculaire. Scorsese nous livre une tragédie sombre, cruelle et fabuleuse. Une ascension grandiose vers une déchéance vertigineuse de la mafia. Nous retrouvons à nouveau la Maman de Scorsese au casting, Catherine, également présente dans les Affranchis. ainsi que l'intarissable James Woods «Il était une fois en Amérique», Don Rickles en directeur du Casino, Philip Suriano, Kevin Pollak, et le bon vieux Frank Vincent qui joua aux côtés de Pesci et De Niro dans Raging Bull, et les Affranchis ! En tout point de vue, c'est un énorme classique que seulement les puristes pourront apprécier.
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  • Avis laissé en France le 20 janvier 2020
    Réalisé par Martin Scorsese en 1995. Un film magistral. Pour une version 4K superbe qui lui rend hommage comme il se doit. Apres les succès de Raging Bull et du cultissime Affranchis, Scorsese réuni de nouveau le Tandem De Niro/Pesci dans un film intitulé Casino. Il n'est pas simplement un film de gangster, c'est LE film de gangster par excellence. Servi par des acteurs exceptionnels (De Niro nous livre ici sa dernière bonne prestation et Joe Pesci montre qu'il peut être terriblement impressionnant en petit teigneux déjanté), Sharon Stone dans toute sa splendeur amoureuse et instable à la fois m'a séduit, ce n'est pas la provocante sexy et torride de Basic Instinct, Mais elle assure et nous offre tout son talent d'actrice. Scorsese s'inspire de l'ouvrage Casino : amour et honneur à Las Vegas de Nicholas Pileggi (scénariste également de Goodfellas), qui a cosigné le scénario avec le réalisateur.

    Alors que la musique de «La Passion selon saint Matthieu» de Bach s’élève durant le générique, l’ombre de « Ace », alias Sam Rothstein (Robert De Niro), tombe indéfiniment dans un vide enflammé, parmi les néons scintillants et multicolores des casinos de Las Vegas. L’ouverture animée par Elaine et Saul Bass est le programme du film tout entier : cette chute infernale du personnage est hypnotique, immergée dans le clignotement chatoyant des lumières de Vegas. Les personnages principaux en commençant par Sam, gérant du casino The Tangiers, Son costume vêtu de rose «à la John Barrymore» survit miraculeusement d'une explosion à la bombe en demarrant sa belle Cadillac Eldorado coupé (81) forcément calciné, Il s'en réchappe grâce au blindage qu'il a fait installer sous la voiture. Sa femme Ginger (Sharon Stone) et son ami gangster Nicky (Joe Pesci) pensent en effet vivre « au Paradis » alors que le cinéaste vient d’ouvrir son film avec des flammes infernales. La citation légendaire de Sam au début résume tout le film en entier : « J’rigole pas, j’avais tellement bien pigé le truc qu’on m’a donné le paradis sur Terre. « En un rien de temps on a mis de l'ordre, On s'est débarrassé des Arnaqueurs travaillant a leurs comptes, Les bénefs grimpaient, Les Dieux nous souriaient, Autant que les dieux peuvent sourire ? » De Niro sait aussi se montrer impitoyable comme lors de cette scène avec l'agent fédéral posant ses pieds sur la table de jeux : « Vous allez me virer ce gars de l’établissement et vous allez le virer sans que ses pieds touchent terre et en ouvrant la porte avec sa tronche.!» C’est ce vertige incroyable du monde illusoire de Vegas, du pouvoir et du luxe, où le jour et la nuit se confondent, où le droit et la loi sont suspendus (tous sont corrompus par de vieux mafieux contrôlant le casino), que la mise en scène de Scorsese cherche à faire vivre.

    Les trois premiers quarts d’heure du film, qui présentent les rouages complexes du casino et la circulation de pots-de-vin jusqu’au repère des caïds dans une épicerie reculée, construisent un labyrinthe vertigineux de lieux, de lumières et de mouvements. L’effet d’immersion déjà présent dans le fameux plan-séquence du restaurant des Affranchis est ici considérablement renforcé : comme l’affirme le cinéaste dans ses entretiens avec Michael Henry Wilson, le chef-opérateur Bob Richardson va encore plus loin dans Casino que Michael Ballhaus, chef-opérateur régulier de Scorsese, dans l’emploi systématique de mouvements de caméra et d’éclairages magistraux. Un foisonnement de plans-séquences aux mouvements fluides entrelace alors sans heurt, dans un même mouvement continu, le monde scintillant du casino avec l’obscure arrière-salle où se cachent les criminels qui en profitent et comptent des millions de dollars en argent liquide... Accompagné de la voix-off de Joe Pesci « Et en plus de nous blanchir, il y a le pognon. Des tonnes de pognon. Qu’est-ce que vous croyez qu’on vient foutre en plein milieu du désert ? On est là pour le fric !»

    L'histoire est prenante inspirée de la vie Sam « Ace » Rothstein qui diriga d'une main de fer l'hôtel-casino de Las Vegas, financé en sous-main par le puissant syndicat des camionneurs. Scorsese reprend les mêmes codes de son précédent film « Les Affranchis », les séquences sont d'une élégance virtuose, magistrale, à la fois visuellement époustouflante et narrativement captivante : (Le gâteau d'anniversaire pour détourner l'attention des clients du Casino est une leçon de mise en scène) ! Pour le passage a tabac des escrocs dans l'arrière-salle, Le système d’un effondrement tragique, suscitant l’horreur et la pitié. L’horreur a pour origine la fulgurante violence de Nicky, dont l’acharnement brutal et meurtrier surgit dans le champ sans prévenir. Les scènes sanglantes s’accélèrent et innervent de plus en plus le film au fur et à mesure de l’influence grandissante du gangster. Nicky est le sombre envers de la face rutilante de Vegas : un personnage ordurier, à la violence crue et aux sorties souvent burlesques alors que Nicky fait exploser l’œil d’un visage coincé dans un étau, celui-ci s’exclame : « Tu m’obliges à te faire gicler un œil pour protéger cette m*rde ! » La scène dans le désert filmé en Close-up sur le reflet des lunettes de Sam en voyant arriver Nicky au volant de sa Chevrolet Monte Carlo (model 1977) à fond les pneus poussiéreux est d'une esthétique sublime. Les répliques fusent : «T’attaques Nicky à coups de poings, il sort une batte de baseball. Tu l’attaques au couteau, il sort un flingue. Et si tu sors un flingue, t’as intérêt à le tuer parce qu’il va revenir à la charge jusqu’à ce qu’il y en ai un des deux qui soit mort. », « En temps normal, mes chances de revenir vivant d’un rendez-vous avec Nicky étaient de 99 sur 100. Mais quand je l’ai entendu me dire « 100 mètres plus loin sur la route, je me suis donné 50/50 ».

    La pitié, l'avidité, elle, vient de la fragilité émouvante de Ginger l’icône rayonnante s’effondre vite pour laisser place à une figure tourmentée, sombrant dans l’alcool et les larmes, plongée dans les tragiques clairs-obscurs d’une chambre ou d’un cabinet d’avocat. La dernière partie de Casino épouse ainsi fidèlement l’histoire vraie de Lefty Rosenthal et les déchirements de son couple, en proposant une réécriture tragique et survoltée, pleine de bruit et de fureur, du Mépris de Jean-Luc Godard, où, cette fois-ci, les non-dits sont abandonnés pour laisser libre cours à l’explosion violente du ressentiment. Scorsese en reprend d’ailleurs le thème musical, « Camille » de Georges Delerue. L’effondrement du couple est le symbole, à l’échelle humaine, de la disparition d’un temps : le glamour laisse place au sordide Ginger attache sa propre fille à un lit, hurle sans retenue devant chez elle, complètement ivre, pour récupérer « son fric » alors que l’immeuble du Tangiers s’effondre en un grand nuage de poussière, et que des hôtels méprisant le client (selon la voix off culte de De Niro), aux allures de parc d’attractions, surplombent le regard du spectateur. Derrière son épilogue tragique, Casino pointe du doigt la métamorphose d’un système qui n’est pas sans rappeler le monde hollywoodien : le remplacement d’une industrie qui recherchait avant tout le rêve et l’éblouissement par la triste tyrannie du profit. Scorsese reprend bien la figure du gangster qui, conformément aux codes du genre, incarne ici l’ubris (la démesure) de la tragédie grecque démesure du langage, des actes, de l’ambition aboutissant ici au dérèglement du monde (l’organisation entière du casino part en vrille) et à une fin funeste, particulièrement spectaculaire. Scorsese nous livre une tragédie sombre, cruelle et fabuleuse. Une ascension grandiose vers une déchéance vertigineuse de la mafia. Nous retrouvons à nouveau la Maman de Scorsese au casting, Catherine, également présente dans les Affranchis. ainsi que l'intarissable James Woods «Il était une fois en Amérique», Don Rickles en directeur du Casino, Philip Suriano, Kevin Pollak, et le bon vieux Frank Vincent qui joua aux côtés de Pesci et De Niro dans Raging Bull, et les Affranchis ! En tout point de vue, c'est un énorme classique que seulement les puristes pourront apprécier.
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    5,0 sur 5 étoiles
    Le plus grand film de gangster avec Le Parrain, Scarface, L'Impasse et les Affranchis

    Avis laissé en France le 20 janvier 2020
    Réalisé par Martin Scorsese en 1995. Un film magistral. Pour une version 4K superbe qui lui rend hommage comme il se doit. Apres les succès de Raging Bull et du cultissime Affranchis, Scorsese réuni de nouveau le Tandem De Niro/Pesci dans un film intitulé Casino. Il n'est pas simplement un film de gangster, c'est LE film de gangster par excellence. Servi par des acteurs exceptionnels (De Niro nous livre ici sa dernière bonne prestation et Joe Pesci montre qu'il peut être terriblement impressionnant en petit teigneux déjanté), Sharon Stone dans toute sa splendeur amoureuse et instable à la fois m'a séduit, ce n'est pas la provocante sexy et torride de Basic Instinct, Mais elle assure et nous offre tout son talent d'actrice. Scorsese s'inspire de l'ouvrage Casino : amour et honneur à Las Vegas de Nicholas Pileggi (scénariste également de Goodfellas), qui a cosigné le scénario avec le réalisateur.

    Alors que la musique de «La Passion selon saint Matthieu» de Bach s’élève durant le générique, l’ombre de « Ace », alias Sam Rothstein (Robert De Niro), tombe indéfiniment dans un vide enflammé, parmi les néons scintillants et multicolores des casinos de Las Vegas. L’ouverture animée par Elaine et Saul Bass est le programme du film tout entier : cette chute infernale du personnage est hypnotique, immergée dans le clignotement chatoyant des lumières de Vegas. Les personnages principaux en commençant par Sam, gérant du casino The Tangiers, Son costume vêtu de rose «à la John Barrymore» survit miraculeusement d'une explosion à la bombe en demarrant sa belle Cadillac Eldorado coupé (81) forcément calciné, Il s'en réchappe grâce au blindage qu'il a fait installer sous la voiture. Sa femme Ginger (Sharon Stone) et son ami gangster Nicky (Joe Pesci) pensent en effet vivre « au Paradis » alors que le cinéaste vient d’ouvrir son film avec des flammes infernales. La citation légendaire de Sam au début résume tout le film en entier : « J’rigole pas, j’avais tellement bien pigé le truc qu’on m’a donné le paradis sur Terre. « En un rien de temps on a mis de l'ordre, On s'est débarrassé des Arnaqueurs travaillant a leurs comptes, Les bénefs grimpaient, Les Dieux nous souriaient, Autant que les dieux peuvent sourire ? » De Niro sait aussi se montrer impitoyable comme lors de cette scène avec l'agent fédéral posant ses pieds sur la table de jeux : « Vous allez me virer ce gars de l’établissement et vous allez le virer sans que ses pieds touchent terre et en ouvrant la porte avec sa tronche.!» C’est ce vertige incroyable du monde illusoire de Vegas, du pouvoir et du luxe, où le jour et la nuit se confondent, où le droit et la loi sont suspendus (tous sont corrompus par de vieux mafieux contrôlant le casino), que la mise en scène de Scorsese cherche à faire vivre.

    Les trois premiers quarts d’heure du film, qui présentent les rouages complexes du casino et la circulation de pots-de-vin jusqu’au repère des caïds dans une épicerie reculée, construisent un labyrinthe vertigineux de lieux, de lumières et de mouvements. L’effet d’immersion déjà présent dans le fameux plan-séquence du restaurant des Affranchis est ici considérablement renforcé : comme l’affirme le cinéaste dans ses entretiens avec Michael Henry Wilson, le chef-opérateur Bob Richardson va encore plus loin dans Casino que Michael Ballhaus, chef-opérateur régulier de Scorsese, dans l’emploi systématique de mouvements de caméra et d’éclairages magistraux. Un foisonnement de plans-séquences aux mouvements fluides entrelace alors sans heurt, dans un même mouvement continu, le monde scintillant du casino avec l’obscure arrière-salle où se cachent les criminels qui en profitent et comptent des millions de dollars en argent liquide... Accompagné de la voix-off de Joe Pesci « Et en plus de nous blanchir, il y a le pognon. Des tonnes de pognon. Qu’est-ce que vous croyez qu’on vient foutre en plein milieu du désert ? On est là pour le fric !»

    L'histoire est prenante inspirée de la vie Sam « Ace » Rothstein qui diriga d'une main de fer l'hôtel-casino de Las Vegas, financé en sous-main par le puissant syndicat des camionneurs. Scorsese reprend les mêmes codes de son précédent film « Les Affranchis », les séquences sont d'une élégance virtuose, magistrale, à la fois visuellement époustouflante et narrativement captivante : (Le gâteau d'anniversaire pour détourner l'attention des clients du Casino est une leçon de mise en scène) ! Pour le passage a tabac des escrocs dans l'arrière-salle, Le système d’un effondrement tragique, suscitant l’horreur et la pitié. L’horreur a pour origine la fulgurante violence de Nicky, dont l’acharnement brutal et meurtrier surgit dans le champ sans prévenir. Les scènes sanglantes s’accélèrent et innervent de plus en plus le film au fur et à mesure de l’influence grandissante du gangster. Nicky est le sombre envers de la face rutilante de Vegas : un personnage ordurier, à la violence crue et aux sorties souvent burlesques alors que Nicky fait exploser l’œil d’un visage coincé dans un étau, celui-ci s’exclame : « Tu m’obliges à te faire gicler un œil pour protéger cette m*rde ! » La scène dans le désert filmé en Close-up sur le reflet des lunettes de Sam en voyant arriver Nicky au volant de sa Chevrolet Monte Carlo (model 1977) à fond les pneus poussiéreux est d'une esthétique sublime. Les répliques fusent : «T’attaques Nicky à coups de poings, il sort une batte de baseball. Tu l’attaques au couteau, il sort un flingue. Et si tu sors un flingue, t’as intérêt à le tuer parce qu’il va revenir à la charge jusqu’à ce qu’il y en ai un des deux qui soit mort. », « En temps normal, mes chances de revenir vivant d’un rendez-vous avec Nicky étaient de 99 sur 100. Mais quand je l’ai entendu me dire « 100 mètres plus loin sur la route, je me suis donné 50/50 ».

    La pitié, l'avidité, elle, vient de la fragilité émouvante de Ginger l’icône rayonnante s’effondre vite pour laisser place à une figure tourmentée, sombrant dans l’alcool et les larmes, plongée dans les tragiques clairs-obscurs d’une chambre ou d’un cabinet d’avocat. La dernière partie de Casino épouse ainsi fidèlement l’histoire vraie de Lefty Rosenthal et les déchirements de son couple, en proposant une réécriture tragique et survoltée, pleine de bruit et de fureur, du Mépris de Jean-Luc Godard, où, cette fois-ci, les non-dits sont abandonnés pour laisser libre cours à l’explosion violente du ressentiment. Scorsese en reprend d’ailleurs le thème musical, « Camille » de Georges Delerue. L’effondrement du couple est le symbole, à l’échelle humaine, de la disparition d’un temps : le glamour laisse place au sordide Ginger attache sa propre fille à un lit, hurle sans retenue devant chez elle, complètement ivre, pour récupérer « son fric » alors que l’immeuble du Tangiers s’effondre en un grand nuage de poussière, et que des hôtels méprisant le client (selon la voix off culte de De Niro), aux allures de parc d’attractions, surplombent le regard du spectateur. Derrière son épilogue tragique, Casino pointe du doigt la métamorphose d’un système qui n’est pas sans rappeler le monde hollywoodien : le remplacement d’une industrie qui recherchait avant tout le rêve et l’éblouissement par la triste tyrannie du profit. Scorsese reprend bien la figure du gangster qui, conformément aux codes du genre, incarne ici l’ubris (la démesure) de la tragédie grecque démesure du langage, des actes, de l’ambition aboutissant ici au dérèglement du monde (l’organisation entière du casino part en vrille) et à une fin funeste, particulièrement spectaculaire. Scorsese nous livre une tragédie sombre, cruelle et fabuleuse. Une ascension grandiose vers une déchéance vertigineuse de la mafia. Nous retrouvons à nouveau la Maman de Scorsese au casting, Catherine, également présente dans les Affranchis. ainsi que l'intarissable James Woods «Il était une fois en Amérique», Don Rickles en directeur du Casino, Philip Suriano, Kevin Pollak, et le bon vieux Frank Vincent qui joua aux côtés de Pesci et De Niro dans Raging Bull, et les Affranchis ! En tout point de vue, c'est un énorme classique que seulement les puristes pourront apprécier.
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    12 personnes ont trouvé cela utile
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  • Avis laissé en France le 9 avril 2025
    bon film
    livraison ok
    les DVDs fonctionnent pas de problème
  • Avis laissé en France le 13 janvier 2025
    Je rechercher ce blu ray depuis longtemps avec sharon Stone, Robert de Niro principalement ce film est génial un film à voir ou à revoir !!
  • Avis laissé en France le 29 mai 2024
    Correspond au descriptif
  • Avis laissé en France le 1 mars 2025
    Bien reçu
  • Avis laissé en France le 20 septembre 2024
    Blu ray 4k de grande qualité. J'ai du racheter ce film car le blu ray édition TF1 est obsolète dans tous mes lecteur blu-ray.. C'est tout de même regrettable
  • Avis laissé en France le 25 juin 2024
    Bonjour je Tiens à vous remercier à Tout L'équipe D'Amazon Pour Votre Service Des Livrésion BRAVO Et Merci Aussi Que Tout Les Produits Que J'achète Merci.Mr SEEGOOLAM AFZAL Emirates.
  • Avis laissé en France le 6 septembre 2017
    Il faut le voir ! Certes ce n'est pas le plus grand chef d'oeuvre de tout les temps, mais néanmoins c'est un excellant film qui nous plonge dans les méandres de Vegas au main mise de la pègre dans les années 70/80. Durant 3h vous êtes tenue au cœur du film grâces aux acteur qui sont aussi les narrateurs de leurs propres histoire. Joe Pesci est bien badass, Sharon Stone sublime, au rôle un peu secondaire au début de l'histoire prend de plus en plus de l'importance au fur et à mesure, et De Niro bah c'est De Niro quoi juste énorme ! Après niveau qualité image et son c'est vraiment moyen et encore je suis gentil, très sincèrement le Blu-Ray mériterait une restauration digne de ce nom, parce que le film date de 1995 et le portage sur support Blu-Ray à été bâcler.
    4 personnes ont trouvé cela utile
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Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

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  • apple-candy
    5,0 sur 5 étoiles 一攫千金の怖さ 楽して勝てない
    Avis laissé au Japon le 10 mars 2025
    本作は監督 マーティン・スコセッシ キャスト ロバート・デ・ニーロ、ジョー・ペシ出演のいわばグッドフェローズの兄弟みたいな作品ですね。
    男女関係、マフィアとの関係、特にシャロン・ストーンは、エース側に付くのかニッキー側に付くのか人間関係がもつれている所は
    現代社会でもよくある事である。色々煩わしさがある。
    またこの作品を通してカジノのイカサマを監視している様子がよく分かり、カジノの歴史を学べた。
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  • World Leader Pretend
    4,0 sur 5 étoiles Gran peli
    Avis laissé en Espagne le 22 mai 2019
    Edición inglesa porque no la encontré en español . Está en inglés y no tiene subtítulos en español (sí en inglés). Pero contento por el peliculón y por el precio que pagué
  • Client d'Amazon
    5,0 sur 5 étoiles la rapidité de livraison + la qualité
    Commenté en Belgique le 20 décembre 2024
  • Ralph Nettelmann
    5,0 sur 5 étoiles 6 Sterne
    Avis laissé en Allemagne le 26 août 2017
    1973: Der disziplinierte Profispieler und Buchhalter Sam „Ace“ Rothstein (Robert DeNiro) steigt in Las Vegas zum Geschäftsführer des angesehenen Tengiers-Casinos auf. Er muss den ständigen Geldfluss für seine Mafiabosse gewährleisten. Politiker werden geschmiert und die Spieler im Zaum gehalten, nicht zuviel zu gewinnen. Dazu zweigt Ace einen satten Anteil für den Mob ab. Der Hitzkopf Nicky Santoro (Joe Pesci) hält seinem Freund Rothstein das Gröbste vom Hals, geht dabei aber mit äußerster Brutalität vor und schafft sich mit dieser Methode nicht nur Freunde. Alles läuft ganz prima, bis Ace sich in die Edel-Prostituierte Ginger McKenna (Sharon Stone) verliebt. Die Glücksritterin ist auf der Suche nach Reichtum und aus diesem Grund willigt sie ein, Rothstein zu heiraten. Eine fatale Entscheidung, denn der Casinomanager verliert nach und nach jegliche Kontrolle über sein Leben. Die frustrierte Ginger flüchtet sich in Drogen und Alkohol. Eine verhängnisvolle Kettenreaktion wird damit losgetreten...

    Neben "Heat" mit Gegenspieler Al Pacino ist dies der zweite grosse Wurf von Robert DeNiro in der Dekade.

    Ein Film den man sich immer wieder anschaut.

    Ralph Nettelmann
    Bremen
  • Elena
    5,0 sur 5 étoiles Perfetto!
    Avis laissé en Italie le 30 janvier 2025
    Perfetto, il Blu-ray si vede e si sente benissimo!

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